89 % des 15-29 ans estiment que les compétences nécessaires à leur travail vont évoluer dans les 3 prochaines années
Avez-vous peur de perdre votre emploi ? Pour 35 % des Français, la réponse est « oui ». Les salariés des TPE sont particulièrement nombreux à répondre dans l’affirmative (50 %), de même que les salariés du privé (40 %), les ouvriers (39 %) et les 40-49 ans (37 %). À l’inverse, les Français qui redoutent le moins cette éventualité sont les cadres (33 %), les salariés âgés de 50 ans et plus (31 %), les Franciliens (30 %) et les fonctionnaires (20 %).
Si cette appréhension est présente chez nos compatriotes, c’est en partie parce que les Français se rendent compte que les compétences nécessaires à leur travail vont évoluer. Selon 77 % des personnes interrogées, cette mutation se produira même dans les trois prochaines années. Le Baromètre nous apprend par ailleurs que les cadres et les salariés les plus jeunes (15-29 ans) y sont particulièrement sensibles : 89 % et 85 % de ces catégories respectivement sont de l’avis que dans trois ans, les compétences requises ne seront plus les mêmes. Les personnes travaillant dans des entreprises de 500 salariés et plus, ainsi que les salariés du tertiaire, font également ce constat (80 % et 78 % respectivement).
Si cette appréhension est présente chez nos compatriotes, c’est en partie parce que les Français se rendent compte que les compétences nécessaires à leur travail vont évoluer. Selon 77 % des personnes interrogées, cette mutation se produira même dans les trois prochaines années. Le Baromètre nous apprend par ailleurs que les cadres et les salariés les plus jeunes (15-29 ans) y sont particulièrement sensibles : 89 % et 85 % de ces catégories respectivement sont de l’avis que dans trois ans, les compétences requises ne seront plus les mêmes. Les personnes travaillant dans des entreprises de 500 salariés et plus, ainsi que les salariés du tertiaire, font également ce constat (80 % et 78 % respectivement).
1 salarié sur 3 s’est vu proposer une formation au cours de l’année écoulée
Dans ce contexte, seul 1 salarié sur 2 (54 %) se sent bien préparé aux évolutions à venir de son métier. Parmi les populations au sein desquelles ce sentiment est le plus bas on trouve les ouvriers (47 %) et les salariés du public (49 %) mais aussi les femmes (52 %) et les salariés de l’industrie (51 %). À l’inverse, les populations qui se sentent les mieux préparées sont les moins de 30 ans (68 %), les cadres (63 %), les salariés du privé (56 %) et les salariés du tertiaire (55 %).
Pour se préparer aux évolutions de leur métier, 31 % des salariés affirment avoir reçu au cours de l’année écoulée la proposition de suivre une formation. Une telle proposition a été évoquée surtout par les salariés âgés de 15 à 29 ans (42 %), les managers (38 %), les employés (37 %) et les salariés du secteur public (35 %). À l’inverse, les salariés de TPE (25 %), ceux du secteur privé (29 %), de l’industrie (28 %), les non-managers (27 %), les salariés de plus de 50 ans (21%) et les ouvriers (20 %) sont ceux qui ont reçu le moins souvent une telle proposition.
Pour se préparer aux évolutions de leur métier, 31 % des salariés affirment avoir reçu au cours de l’année écoulée la proposition de suivre une formation. Une telle proposition a été évoquée surtout par les salariés âgés de 15 à 29 ans (42 %), les managers (38 %), les employés (37 %) et les salariés du secteur public (35 %). À l’inverse, les salariés de TPE (25 %), ceux du secteur privé (29 %), de l’industrie (28 %), les non-managers (27 %), les salariés de plus de 50 ans (21%) et les ouvriers (20 %) sont ceux qui ont reçu le moins souvent une telle proposition.