13 milliards d'euros : c'est ce que le président de la République a engrangé en termes de contrats signés entre des entreprises françaises et indiennes. Une vingtaine de contrats et d'accords, dont le plus important concerne Safran : l'industriel va fournir des moteurs de Boeing 737 Max à Spice Jet, compagnie aérienne à bas coût. Un contrat de 12,5 milliards de dollars. Suez va distribuer de l'eau potable et moderniser le réseau de la ville de Devangere. Air Liquide va travailler avec Sterlite Tech. La SNCF va coopérer avec le ministère des Chemins de fer dans le domaine ferroviaire.
La France se rapproche aussi militairement de l'Inde : les deux pays vont poursuivre et amplifier les échanges d'informations classifiées et la fourniture de soutien logistique entre les forces armées. Le développement de la mobilité urbaine ainsi que les « smart cities » ont également été au cœur des discussions entre les deux partenaires. Mais c'est EDF qui a sans doute tiré les marrons du feu : l'électricien a signé un « accord industriel » avec Nuclear Power Corp of India (NPCIL) pour la mise en œuvre de six EPR. Ces réacteurs nucléaires de dernière génération devront fournir à terme 9,6 GW.
Emmanuel Macron et le Premier ministre indien, Narendra Modi, ont invité les deux partenaires à accélérer les négociations contractuelles afin de lancer la constructeur de ces EPR d'ici la fin de l'année. Pour le reste, le chef de l'État entend faire de la France la principale tête de pont européenne pour l'Inde, étant donné le départ du Royaume-Uni de l'Union programmé en mars prochain.
La France se rapproche aussi militairement de l'Inde : les deux pays vont poursuivre et amplifier les échanges d'informations classifiées et la fourniture de soutien logistique entre les forces armées. Le développement de la mobilité urbaine ainsi que les « smart cities » ont également été au cœur des discussions entre les deux partenaires. Mais c'est EDF qui a sans doute tiré les marrons du feu : l'électricien a signé un « accord industriel » avec Nuclear Power Corp of India (NPCIL) pour la mise en œuvre de six EPR. Ces réacteurs nucléaires de dernière génération devront fournir à terme 9,6 GW.
Emmanuel Macron et le Premier ministre indien, Narendra Modi, ont invité les deux partenaires à accélérer les négociations contractuelles afin de lancer la constructeur de ces EPR d'ici la fin de l'année. Pour le reste, le chef de l'État entend faire de la France la principale tête de pont européenne pour l'Inde, étant donné le départ du Royaume-Uni de l'Union programmé en mars prochain.