cc/flickr/Adam Tinworth
Christine Lagarde était, à l’époque des faits, ministre de l’Economie. C’est dans le cadre de cette fonction qu’elle a été entendue mardi 26 août 2014 par les juges. Elle avait le statut de « témoin assisté » dans cette affaire depuis 2013.
Après l’entrevue, Christine Lagarde aurait été mise en examen pour « négligence ». Les juges de Cour de Justice de la République essayent, dans cette affaire, de comprendre le rôle que Christine Lagarde a pu jouer lorsqu’en 2007 la justice privée avait été préférée à la justice publique dans le différend qui opposait le Crédit Lyonnais et M. Tapie.
L’arbitrage, favorable à M. Tapie, avait entraîné le versement de 400 millions d’euros dont 45 millions d’euros de préjudice moral, à l’homme d’affaires.
L’annonce de la mise en examen de Mme Lagarde ne provoque toutefois pas de tremblement au niveau des hautes sphères du FMI. Le Fonds Monétaire International a à maintes fois publiquement affiché son soutien à se présidente. Un soutien dont elle est parfaitement consciente puisqu’elle a déjà annoncé qu’elle n’allait pas démissionner de ses fonctions de présidente du FMI.
Au contraire, elle a déclaré à l’AFP qu’elle retournait dès ce mercredi 27 août 2014 soir à New York pour continuer le travail au sein du FMI.
Mise en examen pour « négligence », les juges lui reprocheraient notamment de ne pas avoir déposé un recours contre l’arbitrage favorable à M. Tapie, elle risque 15 000 euros d’amende et un an de prison.
Après l’entrevue, Christine Lagarde aurait été mise en examen pour « négligence ». Les juges de Cour de Justice de la République essayent, dans cette affaire, de comprendre le rôle que Christine Lagarde a pu jouer lorsqu’en 2007 la justice privée avait été préférée à la justice publique dans le différend qui opposait le Crédit Lyonnais et M. Tapie.
L’arbitrage, favorable à M. Tapie, avait entraîné le versement de 400 millions d’euros dont 45 millions d’euros de préjudice moral, à l’homme d’affaires.
L’annonce de la mise en examen de Mme Lagarde ne provoque toutefois pas de tremblement au niveau des hautes sphères du FMI. Le Fonds Monétaire International a à maintes fois publiquement affiché son soutien à se présidente. Un soutien dont elle est parfaitement consciente puisqu’elle a déjà annoncé qu’elle n’allait pas démissionner de ses fonctions de présidente du FMI.
Au contraire, elle a déclaré à l’AFP qu’elle retournait dès ce mercredi 27 août 2014 soir à New York pour continuer le travail au sein du FMI.
Mise en examen pour « négligence », les juges lui reprocheraient notamment de ne pas avoir déposé un recours contre l’arbitrage favorable à M. Tapie, elle risque 15 000 euros d’amende et un an de prison.