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On sait depuis longtemps que le nom de la nouvelle version de Yahoo, une fois séparé des activités Internet, sera Altaba. Un choix assez logique puisque la majorité de la valeur du capital de cette nouvelle entreprise est issue de l’investissement réalisé par Yahoo dans AliBaba, l’Amazon chinois. Altaba vise à devenir un simple fonds d’investissement.
A la tête de cette nouvelle entité, la direction de Altaba a nommé Thomas McInerney. Ce dernier était déjà membre du conseil d’administration de Yahoo depuis 2012 et a été directeur financier de IAC. Il est donc bien placé pour gérer les actifs restants après la cession des activités à Verizon.
En effet, l’actuelle PDG de Yahoo, Marissa Mayer, avait annoncé qu’elle quitterait ses fonctions pour poursuivre son travail au sein de Verizon. Ayant déçu les investisseurs chez Yahoo, qu’elle a tenté en vain de redresser avant d’opter pour une vente, elle aurait de toute manière eu des difficultés à reprendre les rênes d’Altaba et à garder la confiance du conseil d’administration.
La fin du géant des portails Internet se précise donc alors que les autorités américaines sont sur le point de lui éviter une plainte au pénal : le FBI pourrait accuser formellement des mars 2017 des hackers étrangers des divers piratages, dédouanant en partie Yahoo de sa responsabilité dans les failles de sécurité et la fuite de données personnelles.
A la tête de cette nouvelle entité, la direction de Altaba a nommé Thomas McInerney. Ce dernier était déjà membre du conseil d’administration de Yahoo depuis 2012 et a été directeur financier de IAC. Il est donc bien placé pour gérer les actifs restants après la cession des activités à Verizon.
En effet, l’actuelle PDG de Yahoo, Marissa Mayer, avait annoncé qu’elle quitterait ses fonctions pour poursuivre son travail au sein de Verizon. Ayant déçu les investisseurs chez Yahoo, qu’elle a tenté en vain de redresser avant d’opter pour une vente, elle aurait de toute manière eu des difficultés à reprendre les rênes d’Altaba et à garder la confiance du conseil d’administration.
La fin du géant des portails Internet se précise donc alors que les autorités américaines sont sur le point de lui éviter une plainte au pénal : le FBI pourrait accuser formellement des mars 2017 des hackers étrangers des divers piratages, dédouanant en partie Yahoo de sa responsabilité dans les failles de sécurité et la fuite de données personnelles.