Définitivement votée le 11 juillet et mise en place de manière rétroactive à compter du 1er janvier, la taxe sur le numérique impose les grandes entreprises internet (Google, Amazon, Facebook, Apple et plusieurs autres) dans leurs les activités de publicité en ligne, d'exploitation des données, ainsi que les plateformes d'intermédiation. Les sociétés concernées doivent engranger 750 millions d'euros chaque année et 25 millions en France. Cette taxe consiste en un prélèvement de 3% du chiffre d'affaires, ce qui devrait rapporter 400 millions d'euros la première année.
Mais le revers de la médaille, c'est que rien n'empêche les entreprises touchées de répercuter la taxe sur leurs clients. Ce sera le cas pour Amazon, qui augmente les frais de vente des vendeurs français. « A la suite de l'instauration en France d'une nouvelle taxe sur les services numériques au taux de 3%, nous souhaitons vous informer que nous serons contraints d'ajuster les taux de nos frais de vente sur Amazon.fr pour refléter ce coût supplémentaire », explique le géant du commerce en ligne, dont les frais augmentent donc de 3% à compter du 1er octobre.
Dans un communiqué, Amazon explique que la taxe vise « directement » les services de sa plateforme mise à disposition des entreprises françaises. 10 000 d'entre elles sont des TPE et PME aux marges très faibles : il est donc fort probable qu'elles répercutent la hausse des frais de vente sur les consommateurs. Amazon assure ne pas pouvoir absorber une taxe supplémentaire, malgré u chiffre d'affaires de plus de 63 milliard de dollars au deuxième trimestre.
Mais le revers de la médaille, c'est que rien n'empêche les entreprises touchées de répercuter la taxe sur leurs clients. Ce sera le cas pour Amazon, qui augmente les frais de vente des vendeurs français. « A la suite de l'instauration en France d'une nouvelle taxe sur les services numériques au taux de 3%, nous souhaitons vous informer que nous serons contraints d'ajuster les taux de nos frais de vente sur Amazon.fr pour refléter ce coût supplémentaire », explique le géant du commerce en ligne, dont les frais augmentent donc de 3% à compter du 1er octobre.
Dans un communiqué, Amazon explique que la taxe vise « directement » les services de sa plateforme mise à disposition des entreprises françaises. 10 000 d'entre elles sont des TPE et PME aux marges très faibles : il est donc fort probable qu'elles répercutent la hausse des frais de vente sur les consommateurs. Amazon assure ne pas pouvoir absorber une taxe supplémentaire, malgré u chiffre d'affaires de plus de 63 milliard de dollars au deuxième trimestre.