cc/flickr/parti socialiste
Pour Montebourg, la Direction générale de la Concurrence de la Commission Européenne est un repaire de « talibans du droit » qui empêchent les Etats d’accorder des aides à leurs entreprises en difficulté au nom d’une sacro-sainte « concurrence » entre les Etats-Membres.
Le ministre du Redressement productif estime en effet qu’il y a une distorsion de la concurrence au niveau mondial puisque les autres pays, comme la Chine, les Etats-Unis et les pays émergents tels que le Brésil « autorisent des aides massives pour financer le renouveau industriel et technologique ».
De ce constat découle la demande de Montebourg, très forte : « Nous n'avons pas besoin des taliban du droit de la direction générale de la concurrence, et cette direction devrait être démantelée d'urgence » a déclaré le ministre français lors d’une intervention à l’European American Press club de Paris.
Pourtant, de son côté, Joaquin Almunia défend son autorité et l’autorité de la direction générale de la concurrence estimant que si effectivement certains dossiers ont été bloqués, 95% des aides notifiées ont été validées, y compris des aides notifiées par l’Etat français.
De plus, dans l’article du journal Le Monde du 11 février, le commissaire européen estimait que la France doit s’attaquer « aux vrais problèmes » concernant la compétitivité du pays et « ne pas s’en prendre à des fantasmes ».
Le ministre du Redressement productif estime en effet qu’il y a une distorsion de la concurrence au niveau mondial puisque les autres pays, comme la Chine, les Etats-Unis et les pays émergents tels que le Brésil « autorisent des aides massives pour financer le renouveau industriel et technologique ».
De ce constat découle la demande de Montebourg, très forte : « Nous n'avons pas besoin des taliban du droit de la direction générale de la concurrence, et cette direction devrait être démantelée d'urgence » a déclaré le ministre français lors d’une intervention à l’European American Press club de Paris.
Pourtant, de son côté, Joaquin Almunia défend son autorité et l’autorité de la direction générale de la concurrence estimant que si effectivement certains dossiers ont été bloqués, 95% des aides notifiées ont été validées, y compris des aides notifiées par l’Etat français.
De plus, dans l’article du journal Le Monde du 11 février, le commissaire européen estimait que la France doit s’attaquer « aux vrais problèmes » concernant la compétitivité du pays et « ne pas s’en prendre à des fantasmes ».