Une baisse des ventes de 7,4% en février 2020
Pixabay/jarmoluk
Tous les marchés automobiles ont été dans le rouge en février 2020 en Europe, en particulier marqués par l’entrée en vigueur du nouveau test des émissions polluantes, le WLTP, qui a entraîné une hausse des malus automobiles. En France, c’est le 1er mars que les nouvelles règles sont entrées en vigueur, mais la tendance est la même.
Le marché français a chuté de 2,7%, l’italien de 8,8%, l’allemand de 10,8% et l’espagnol de 6%. Au total, sur le mois, 957.000 voitures ont été immatriculées, selon l’ACEA, soit 7,4% de moins qu’un an auparavant. La baisse, sur l’ensemble du marché et sur un an, est de 7,4%. La même baisse se retrouve lorsqu’on regarde les immatriculations neuves des mois de janvier et février, par rapport à leur nombre un an auparavant.
Le marché français a chuté de 2,7%, l’italien de 8,8%, l’allemand de 10,8% et l’espagnol de 6%. Au total, sur le mois, 957.000 voitures ont été immatriculées, selon l’ACEA, soit 7,4% de moins qu’un an auparavant. La baisse, sur l’ensemble du marché et sur un an, est de 7,4%. La même baisse se retrouve lorsqu’on regarde les immatriculations neuves des mois de janvier et février, par rapport à leur nombre un an auparavant.
Vers un mois de mars catastrophique
Mais les constructeurs sont loin d’avoir connu le pire mois de l’année : la pandémie de coronavirus s’étant étendue à toute l’Europe et plusieurs pays, dont la France, étant en confinement, les ventes devraient logiquement dégringoler à des niveaux historiquement bas.
En Chine, en février, lorsqu’une partie de la population était au confinement du faite de l’épidémie de covid-19, les ventes de véhicules neufs dans le pays avaient chuté de 80%. En Europe, la chute risque d’être plus importante, certains pays ayant mis un terme à l’intégralité des services non essentiels.
En Chine, en février, lorsqu’une partie de la population était au confinement du faite de l’épidémie de covid-19, les ventes de véhicules neufs dans le pays avaient chuté de 80%. En Europe, la chute risque d’être plus importante, certains pays ayant mis un terme à l’intégralité des services non essentiels.