Le mode de calcul des péages est un savant cocktail de redevance domaniale (ce que verse le concessionnaire de l’autoroute à l’État), le montant des travaux demandés par l’État (en plus de ceux réalisés par le concessionnaire), et l’inflation. Or, celle-ci est nulle ou quasi-nulle. La hausse moyenne de 0,76% qui sera appliquée à partir de février prochain repose donc principalement sur les deux premiers critères.
L’augmentation des prix des péages sera même plus forte encore en 2018 que l’année prochaine, élection oblige. L’État a en effet mis en place un plan de rénovation des autoroutes d’un milliard d’euros, qui sera financé par les usagers et les collectivités. Cela fera grimper automatiquement les tarifs de 0,3 à 0,4%…
Pour ce qui concerne la hausse programmée l’année prochaine, elle sera différente selon les concessions et les autoroutes. Ainsi, la plus forte augmentation sera de 1,197% pour Vinci qui gère les autoroutes du sud de la France ; la plus faible sera appliquée par les groupes Sanef et SAPN pour les autoroutes du nord ouest, avec 0,582%.
L’augmentation des prix des péages sera même plus forte encore en 2018 que l’année prochaine, élection oblige. L’État a en effet mis en place un plan de rénovation des autoroutes d’un milliard d’euros, qui sera financé par les usagers et les collectivités. Cela fera grimper automatiquement les tarifs de 0,3 à 0,4%…
Pour ce qui concerne la hausse programmée l’année prochaine, elle sera différente selon les concessions et les autoroutes. Ainsi, la plus forte augmentation sera de 1,197% pour Vinci qui gère les autoroutes du sud de la France ; la plus faible sera appliquée par les groupes Sanef et SAPN pour les autoroutes du nord ouest, avec 0,582%.