Sur la prochaine décennie, le pays va acheter de 400 à 500 avions de ligne, a calculé l’Organisation iranienne de l’aviation civile. Boeing et Airbus sont bien évidemment sur les rangs ; les deux concurrents ont obtenu le feu vert des États-Unis pour commercer avec Téhéran en septembre dernier, et le premier à décrocher un contrat d’envergure est l’avionneur américain.
Boeing a en effet signé un contrat portant sur 80 appareils, pour une somme de 16,6 milliards de dollars. Cela représente une capacité d’environ 50 000 sièges supplémentaires au pays, qui a besoin de renouveler et moderniser sa flotte aérienne après ces dizaines d’années passées sous un embargo international.
Mais si Boeing est parvenu à décrocher le contrat le plus important de son histoire avec l’Iran, Airbus n’est pas en reste. Le constructeur européen espère à son tour obtenir l’achat d’une centaine d’appareils dans les prochains mois. Il y en aura donc pour tout le monde, y compris pour les avionneurs plus modestes : 40 avions ont ainsi été commandés auprès du français ATR.
Boeing a en effet signé un contrat portant sur 80 appareils, pour une somme de 16,6 milliards de dollars. Cela représente une capacité d’environ 50 000 sièges supplémentaires au pays, qui a besoin de renouveler et moderniser sa flotte aérienne après ces dizaines d’années passées sous un embargo international.
Mais si Boeing est parvenu à décrocher le contrat le plus important de son histoire avec l’Iran, Airbus n’est pas en reste. Le constructeur européen espère à son tour obtenir l’achat d’une centaine d’appareils dans les prochains mois. Il y en aura donc pour tout le monde, y compris pour les avionneurs plus modestes : 40 avions ont ainsi été commandés auprès du français ATR.