Un an après l'ouverture des discussions entre le Royaume-Uni et l'Union européenne, les deux parties ont fini par s'entendre sur les trois principaux dossiers du divorce, à savoir la question irlandaise, la facture et les droits des citoyens expatriés. Pour la facture, la somme devrait tourner autour de 55 milliards d'euros. Le Royaume-Uni sortira de la Banque européenne d'investissement, de la BCE, du Fonds européen de développement, mais aussi de toutes les autres instances européennes comme Europol et Euratom. La somme n'a pas été précisée afin de donner un peu de mou à Theresa May auprès des Brexiters…
Les droits des citoyens européens expatriés au Royaume-Uni sont garantis (regroupement familial, pensions, sécurité sociale), tout comme ceux des citoyens britanniques expatriés dans un des pays européens. Outre Manche, la Cour de justice européenne aura son mot à dire pendant 8 ans après le Brexit, qui aura lieu comme prévu en mars 2019. Durant cette période, les juges britanniques devront tenir compte de la jurisprudence de la Cour européenne.
Enfin, après le fiasco de la précédente proposition de Theresa May concernant la frontière entre l'Irlande et l'Ulster, la Première ministre a cette fois pris le temps de consulter l'ensemble de son gouvernement. Il n'y aura pas de frontière physique, et le Royaume-Uni s'engage à ne rien faire qui puisse remettre en cause l'accord qui a permis aux deux parties de trouver la paix. Michel Barnier, le négociateur européen, a dit à ce propos qu'il faudra des solutions « imaginatives » pour que tout le monde y trouve son compte.
Les droits des citoyens européens expatriés au Royaume-Uni sont garantis (regroupement familial, pensions, sécurité sociale), tout comme ceux des citoyens britanniques expatriés dans un des pays européens. Outre Manche, la Cour de justice européenne aura son mot à dire pendant 8 ans après le Brexit, qui aura lieu comme prévu en mars 2019. Durant cette période, les juges britanniques devront tenir compte de la jurisprudence de la Cour européenne.
Enfin, après le fiasco de la précédente proposition de Theresa May concernant la frontière entre l'Irlande et l'Ulster, la Première ministre a cette fois pris le temps de consulter l'ensemble de son gouvernement. Il n'y aura pas de frontière physique, et le Royaume-Uni s'engage à ne rien faire qui puisse remettre en cause l'accord qui a permis aux deux parties de trouver la paix. Michel Barnier, le négociateur européen, a dit à ce propos qu'il faudra des solutions « imaginatives » pour que tout le monde y trouve son compte.