Philippe Martinez, le secrétaire général de la CGT, a tenu à mettre les choses tout à fait au clair durant l’émission Questions politiques du Monde, France Inter et France Inter. Les Français s’expriment aujourd’hui « plus pour un rejet de ce qui existe que pour une perspective », explique-t-il. Un rejet qui ne vaut pas « adhésion au programme ».
Le leader du mouvement contre la loi Travail du printemps visait aussi bien François Fillon qu’Alain Juppé : les Français sont « contre » les programmes des deux programmes des candidats du second tour de la primaire de droite et du centre. Si la droite devait revenir au pouvoir, prévient-il, « ça va barder pour les salariés, pour les privés d'emploi et pour les citoyens en général ».
Mais le programme de gauche ne devrait pas susciter beaucoup d’enthousiasme non plus, indique-t-il. « C’est à peu près la même chose » d’un bort à l’autre de l’échiquier politique, regrette Philippe Martinez. L’atmosphère risque donc bien d’être particulièrement électrique après l’élection présidentielle et ce, qu’importe le vainqueur.
Le leader du mouvement contre la loi Travail du printemps visait aussi bien François Fillon qu’Alain Juppé : les Français sont « contre » les programmes des deux programmes des candidats du second tour de la primaire de droite et du centre. Si la droite devait revenir au pouvoir, prévient-il, « ça va barder pour les salariés, pour les privés d'emploi et pour les citoyens en général ».
Mais le programme de gauche ne devrait pas susciter beaucoup d’enthousiasme non plus, indique-t-il. « C’est à peu près la même chose » d’un bort à l’autre de l’échiquier politique, regrette Philippe Martinez. L’atmosphère risque donc bien d’être particulièrement électrique après l’élection présidentielle et ce, qu’importe le vainqueur.