Les ambitions de la première banque française
Crédit Agricole, déjà première banque française en termes de nombre de clients, veut séduire plus d'un million de clients supplémentaires à l'horizon 2025. Pour y parvenir, l'établissement a l'intention d'élargir et d'adapter ses offres, l'objectif étant de les rendre « plus accessibles, plus responsables et plus digitales ». Le numérique, c'est un des pivots de la banque qui va y consacrer vingt milliards d'euros sur la période.
Un milliard d'euros sera ainsi consacré aux programmes d'investissement de transformation technologique. Mais Crédit Agricole veut également mettre à contribution ses filiales, en Italie par exemple où la banque possède 5,5% du marché, mais aussi en Pologne, en Égypte et en Ukraine « où la présence du groupe, devrait lui permettre de contribuer, en temps voulu, aux efforts de reconstruction du pays ».
Un milliard d'euros sera ainsi consacré aux programmes d'investissement de transformation technologique. Mais Crédit Agricole veut également mettre à contribution ses filiales, en Italie par exemple où la banque possède 5,5% du marché, mais aussi en Pologne, en Égypte et en Ukraine « où la présence du groupe, devrait lui permettre de contribuer, en temps voulu, aux efforts de reconstruction du pays ».
Renforcer la solidité
Crédit Agricole a déjà atteint les objectifs financiers de son précédent plan en 2021, avec un an d'avance, « tout en renforçant sa solidité », souligne le communiqué. Pour cette année, l'entreprise entrevoit un résultat net dépassant les 5 milliards d'euros. Et elle ne veut pas s'arrêter en si bon chemin.
Dans le plan « Ambitions 2025 » dévoilé par Crédit Agricole, l'établissement veut produire un résultat net supérieur à 6 milliards d'euros d'ici 2025, tout en améliorant encore sa rentabilité, « déjà parmi les meilleures en Europe ». La banque est la deuxième plus importante en France au niveau du chiffre d'affaires.
Dans le plan « Ambitions 2025 » dévoilé par Crédit Agricole, l'établissement veut produire un résultat net supérieur à 6 milliards d'euros d'ici 2025, tout en améliorant encore sa rentabilité, « déjà parmi les meilleures en Europe ». La banque est la deuxième plus importante en France au niveau du chiffre d'affaires.