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Après avoir prévenu que la croissance n'était pas au rendez-vous en septembre 2015, le FMI a baissé ses prévisions de croissance pour 2015 et 2016. De 0,2% par an à chaque fois ce qui donne une croissance révisée de 3,1% en 2015 et de 3,6% en 2016. Une très mauvaise nouvelle pour les gouvernements du monde entier qui ne cessent de clamer que la crise économique de 2009 est enfin derrière nous.
Malheureusement les mauvaises nouvelles ne semblent pas s'arrêter là si l'on en croit les analystes du groupe A.P. Moeller Maersk. Ce dernier, peu connu du grand public, détient entre autres la plus grosse entreprise de transport maritime au monde. A elle seule elle pèse 15% du marché mondial du transport de marchandises par bateau.
Le transport de marchandises est un très bon indicateur de la situation économique : si un pays importe plus, il va en théorie bien économiquement car il consomme. A l'inverse une chute des importations signifie une consommation en berne.
Le PDG Nils Smedegaard Andersen, justement, s'inquiète : les importations (et par conséquent les exportations) sont en baisse un peu partout dans le monde. En particulier dans les pays en voie de développement mais également en Europe. Ses analystes, donc, se disent plus pessimistes que le FMI sur la croissance des deux prochaines années. Et c'est une mauvaise nouvelle de plus qui s'ajoute à toutes les autres...
Malheureusement les mauvaises nouvelles ne semblent pas s'arrêter là si l'on en croit les analystes du groupe A.P. Moeller Maersk. Ce dernier, peu connu du grand public, détient entre autres la plus grosse entreprise de transport maritime au monde. A elle seule elle pèse 15% du marché mondial du transport de marchandises par bateau.
Le transport de marchandises est un très bon indicateur de la situation économique : si un pays importe plus, il va en théorie bien économiquement car il consomme. A l'inverse une chute des importations signifie une consommation en berne.
Le PDG Nils Smedegaard Andersen, justement, s'inquiète : les importations (et par conséquent les exportations) sont en baisse un peu partout dans le monde. En particulier dans les pays en voie de développement mais également en Europe. Ses analystes, donc, se disent plus pessimistes que le FMI sur la croissance des deux prochaines années. Et c'est une mauvaise nouvelle de plus qui s'ajoute à toutes les autres...