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L’Insee devrait confirmer, ce mercredi 13 mai, le chiffre avancé par Les Echos : la croissance au premier trimestre devrait être de +0,6% au premier trimestre, soit 0,2 point de plus que les prévisions de l’Institut des statistiques. Ce rythme, que la France n’avait plus connu depuis le deuxième trimestre 2013, touche tous les secteurs de l’économie : investissements des entreprises, consommation des ménages…
Deux facteurs principaux ont concouru à cette bonne nouvelle. La baisse des cours du pétrole évidemment, qui redonnent mécaniquement de l’air au pouvoir d’achat des ménages et des caisses un peu plus garnies pour les entreprises. Et le taux de change entre l’euro et le dollar, qui redonne de la compétitivité aux entreprises européennes qui exportent.
La Banque de France a de son côté annoncé que la croissance au second trimestre devrait s’établir à 0,3%, donnant du muscle aux prévisions prudentes de Bercy qui tablait sur une croissance du PIB de 1%… pour l’ensemble de l’année. Voilà qui est en tout cas une bonne nouvelle que l’exécutif ne va pas bouder.
Deux facteurs principaux ont concouru à cette bonne nouvelle. La baisse des cours du pétrole évidemment, qui redonnent mécaniquement de l’air au pouvoir d’achat des ménages et des caisses un peu plus garnies pour les entreprises. Et le taux de change entre l’euro et le dollar, qui redonne de la compétitivité aux entreprises européennes qui exportent.
La Banque de France a de son côté annoncé que la croissance au second trimestre devrait s’établir à 0,3%, donnant du muscle aux prévisions prudentes de Bercy qui tablait sur une croissance du PIB de 1%… pour l’ensemble de l’année. Voilà qui est en tout cas une bonne nouvelle que l’exécutif ne va pas bouder.