(c) Shutterstock/EconomieMatin
Les chiffres sont attendus ce vendredi 14 novembre et d'ores et déjà, personne ne s'attend à d'excellentes nouvelles. Si l'Espagne devrait relever la tête (avec une prévision fiable à 0,5%), plusieurs autres pays de la zone devraient montrer de sérieuses difficultés, suivant en cela les résultats déjà médiocres du second trimestre, où la croissance s'était contentée de 0,1%. La faute en incombait en partie à l'Allemagne, en recul de 0,2%.
Outre Rhin, on craint même la récession : les estimations des analystes s'attendent à une nouvelle contraction qui pourrait aller jusqu'à -0,2%. Le consensus des analystes grimpe aussi jusqu'à +0,3% : rien n'est joué encore. Néanmoins, les nouvelles ne sont pas bonnes.
Du côté de l'Italie, on prévoit aussi un recul de 0,1%; la France pourrait signer la performance du trimestre avec une croissance très mesurée de 0,2%.
Tout cela n'est guère de bon augure et pousse la BCE à agir un peu plus franchement, en rachetant de la dette souveraine. Mario Draghi, partisan de l'interventionnisme, sera t-il suivi par ses collègues du Conseil des gouverneurs ? Rien n'est moins sûr, des dissensions internes s'étant fait jour pour critiquer les possibles actions de l'institution.
Outre Rhin, on craint même la récession : les estimations des analystes s'attendent à une nouvelle contraction qui pourrait aller jusqu'à -0,2%. Le consensus des analystes grimpe aussi jusqu'à +0,3% : rien n'est joué encore. Néanmoins, les nouvelles ne sont pas bonnes.
Du côté de l'Italie, on prévoit aussi un recul de 0,1%; la France pourrait signer la performance du trimestre avec une croissance très mesurée de 0,2%.
Tout cela n'est guère de bon augure et pousse la BCE à agir un peu plus franchement, en rachetant de la dette souveraine. Mario Draghi, partisan de l'interventionnisme, sera t-il suivi par ses collègues du Conseil des gouverneurs ? Rien n'est moins sûr, des dissensions internes s'étant fait jour pour critiquer les possibles actions de l'institution.