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En vertu de la législation britannique (Darty étant coté à la Bourse de Londres), la Fnac avait jusqu'au 28 octobre pour déposer une offre ferme, mais visiblement les discussions de coulisse entre les deux groupes ont soulevé des interrogations qui nécessitent un approfondissement.
C'est pourquoi le conseil d'administration a donné un délai supplémentaire à la Fnac pour que l'enseigne culturelle muscle son offre. Darty attend notamment une partie en numéraire, ainsi qu' « une compréhension détaillée des synergies attendues et la faisabilité de la transaction et la protection des intérêts de Darty ». Pas question de voir la Fnac démanteler complètement le réseau de boutiques du distributeur. Même si les risques de doublons existent…
La Fnac a néanmoins quelques cartes à jouer. Non seulement le groupe peut effectivement bonifier son offre, mais il possède aussi dans sa manche un atout : l'engagement de deux des plus importants fonds actionnaires de Darty, Knight Vinke et DNCA Finance qui possèdent ensemble plus de 23% de l'entreprise.
C'est pourquoi le conseil d'administration a donné un délai supplémentaire à la Fnac pour que l'enseigne culturelle muscle son offre. Darty attend notamment une partie en numéraire, ainsi qu' « une compréhension détaillée des synergies attendues et la faisabilité de la transaction et la protection des intérêts de Darty ». Pas question de voir la Fnac démanteler complètement le réseau de boutiques du distributeur. Même si les risques de doublons existent…
La Fnac a néanmoins quelques cartes à jouer. Non seulement le groupe peut effectivement bonifier son offre, mais il possède aussi dans sa manche un atout : l'engagement de deux des plus importants fonds actionnaires de Darty, Knight Vinke et DNCA Finance qui possèdent ensemble plus de 23% de l'entreprise.