La hausse sera de 1,23% en moyenne, estime le syndicat étudiant. C’est plus que l’inflation annuelle, et ça ne s’arrange pas quand on regarde la progression du coût de la vie étudiante depuis le début du quinquennat : pratiquement 10% (9,7% précisément).
Le poste de dépenses qui pèse le plus lourd dans le budget d’un étudiant, c’est évidemment celui du logement. Il augmente de manière sensible dans les quinze principales villes universitaires françaises ; à Paris par exemple, les loyers pour les logements étudiant progressent de 4,7%. Le loyer mensuel moyen est de 806 euros dans la capitale.
Le logement compte pour plus de la moitié des dépenses d’un étudiant (55% précisément). La moindre hausse a des répercussions importantes sur le budget. L’Unef préconise un plus grand investissement de l’État dans les aides indirectes, afin d’épauler cette population qui n’est pas très riche. Le coût des transports représente également un poste de dépenses important.
Pour s’en sortir, 300 000 étudiants ont recours à des prêts adaptés à leur situation. Et pour financer loyer et transport (et le reste), un étudiant sur deux travaille en dehors des cours, ce qui peut entraîner l’échec scolaire. Or, un étudiant sur deux échoue en licence, en grande partie à cause du travail à côté et de ses contraintes.
Le poste de dépenses qui pèse le plus lourd dans le budget d’un étudiant, c’est évidemment celui du logement. Il augmente de manière sensible dans les quinze principales villes universitaires françaises ; à Paris par exemple, les loyers pour les logements étudiant progressent de 4,7%. Le loyer mensuel moyen est de 806 euros dans la capitale.
Le logement compte pour plus de la moitié des dépenses d’un étudiant (55% précisément). La moindre hausse a des répercussions importantes sur le budget. L’Unef préconise un plus grand investissement de l’État dans les aides indirectes, afin d’épauler cette population qui n’est pas très riche. Le coût des transports représente également un poste de dépenses important.
Pour s’en sortir, 300 000 étudiants ont recours à des prêts adaptés à leur situation. Et pour financer loyer et transport (et le reste), un étudiant sur deux travaille en dehors des cours, ce qui peut entraîner l’échec scolaire. Or, un étudiant sur deux échoue en licence, en grande partie à cause du travail à côté et de ses contraintes.