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Notamment en Grande-Bretagne où une enquête préliminaire aurait été ouverte concernant le respect des données privées des utilisateurs qui ont été impliqués à leur insu et contre leur gré dans cette recherche scientifique. Au niveau planétaire, c’est un véritable scandale auquel fait face le réseau social.
Pour Sheryl Sandberg, directrice des opérations du réseau social et numéro 2 du groupe, Facebook a « vraiment mal communiqué » sur cette étude. Et surtout sur l’impact de celle-ci. Car, de fait, c’est l’inquiétude concernant la donnée privées des utilisateurs qui a prévalu sur le côté scientifique de ce procédé visant à étudier le comportement et l’influence psychologique d’un réseau social sur l’homme.
La manipulation de Facebook s’est en effet faite sans l’accord préalable des concernés, mais cela est parfaitement logique : dans ce genre d’expériences si on sait qu’on est manipulés ou qu’on est susceptibles de l’être, la réaction comportementale n’est pas la même et surtout risque de ne pas être naturelle.
« Nous prenons très au sérieux la question de la vie privée au sein de Facebook » a rappelé Sheryl
Sandberg lors d’une conférence à New Delhi, mais désormais le scandale a pris des proportions trop importantes et le doute s’est installé chez les internautes.