Il devrait manquer 20,3 millions de travailleurs qualifiés en 2020, et jusqu'à 82,5 millions en 2030 : cette pénurie représente une véritable menace pour l'activité des entreprises qui ne font peut-être pas tous les efforts indispensables pour trouver les solutions adéquates. Pourtant, près de 6 chefs d'entreprises sur dix (59%) estiment que leur société sous-estime le risque organisationnel que représente la pénurie de talents.
9% seulement des entreprises ont pris en compte le manque de main d'œuvre qualifiée d'ici 2030. Sur le court et moyen terme, le pourcentage est plus rassurant (84%). 13% des DRH estiment que cette pénurie à venir est une priorité… même si 74% d'entre eux assurent que le manque de travailleurs qualifiés est une « inquiétude majeure ». La stratégie qui permettra de palier les déficiences du bassin d'emplois qualifiés doit s'établir sur le long terme. Pourquoi les entreprises s'empêchent-elles de trouver des solutions ?
La pression des actionnaires vient en premier lieu : les investisseurs exigent des retours rapides, ce qui empêche d'investir le temps et les ressources nécessaires pour bâtir une stratégie efficace. Et puis il y a la problématique de la transformation technologique : plus de la moitié des dirigeants (55% pour être précis) estime que les nouvelles technologies vont faire évoluer en profondeur la composition de la main d'œuvre.
9% seulement des entreprises ont pris en compte le manque de main d'œuvre qualifiée d'ici 2030. Sur le court et moyen terme, le pourcentage est plus rassurant (84%). 13% des DRH estiment que cette pénurie à venir est une priorité… même si 74% d'entre eux assurent que le manque de travailleurs qualifiés est une « inquiétude majeure ». La stratégie qui permettra de palier les déficiences du bassin d'emplois qualifiés doit s'établir sur le long terme. Pourquoi les entreprises s'empêchent-elles de trouver des solutions ?
La pression des actionnaires vient en premier lieu : les investisseurs exigent des retours rapides, ce qui empêche d'investir le temps et les ressources nécessaires pour bâtir une stratégie efficace. Et puis il y a la problématique de la transformation technologique : plus de la moitié des dirigeants (55% pour être précis) estime que les nouvelles technologies vont faire évoluer en profondeur la composition de la main d'œuvre.