Les prix de l'immobilier subissent une hausse de 2,1% sur un an
Selon les dernières statistiques du groupe Laforêt pour le premier semestre 2019, sur un an, les prix de l'immobilier ont connu une hausse de 2,1% à 3 157 euros le m² en France. « Le marché attire tout particulièrement les primo-accédants et les investisseurs. Ces derniers contribuent à 23% des transactions réalisées au cours du premier semestre de l’année », explique Yann Jéhanno, président de Laforêt dans Le Figaro.
Pour réaliser que cette hausse est bien nationale et n'est pas seulement l'apanage de la capitale, voici quelques exemples en province : à Lyon (Rhône-Alpes) par exemple, le prix de l'immobilier enregistre une augmentation de 6,6%, à Nantes (Loire-Atlantique), elle est de 6,5%, à Rennes (Île-et-Vilaine), de 5,9%.
Pour réaliser que cette hausse est bien nationale et n'est pas seulement l'apanage de la capitale, voici quelques exemples en province : à Lyon (Rhône-Alpes) par exemple, le prix de l'immobilier enregistre une augmentation de 6,6%, à Nantes (Loire-Atlantique), elle est de 6,5%, à Rennes (Île-et-Vilaine), de 5,9%.
Les zones rurales elles aussi touchées par la hausse des prix
Et cette hausse des prix ne concerne pas que les maisons, les prix d'achat des appartements eux aussi subissent une augmentation. Là encore, voici un exemple pour illustrer : dans les Hauts-de-France, ils ont augmenté de 10,7%. Une augmentation due en grande partie à un rattrapage sur les prix qui étaient très bas dans plusieurs villes.
Là encore, surprise, dans les zones rurales, où la baisse des prix était la tendance depuis 2009, on constate un léger rebond de 0,5% au premier trimestre 2019. Cette hausse s'explique par les taux d'intérêt des crédits immobiliers qui restent extrêmement bas. Au final, pourtant, selon les chiffres officiels, les transactions ont progressé de 7%.
Là encore, surprise, dans les zones rurales, où la baisse des prix était la tendance depuis 2009, on constate un léger rebond de 0,5% au premier trimestre 2019. Cette hausse s'explique par les taux d'intérêt des crédits immobiliers qui restent extrêmement bas. Au final, pourtant, selon les chiffres officiels, les transactions ont progressé de 7%.