280 millions de kebabs sont avalés chaque année en France.
C'est dans un petit magasin situé près du zoo de Berlin qu'est né le kebab en 1972. Pourtant simple, le sandwich est présenté à l'époque comme révolutionnaire. Composé de veau et d'agneau haché ainsi que de la salade et des oignong, il permet alors aux Berlinois de déjeuner rapidement, et à très petit prix. Le succès est là et le kebab se démocratise dans toute l'Allemagne, puis dans le reste de l'Europe.
Plus de 40 ans après sa création, le kebab fait encore recette et bénéficie de la diaspora turque et maghrébine pour son expansion. Ainsi, en France, 280 millions de sandwiches seraient vendus chaque année, contre 710 millions de burgers, d'après une étude du cabinet Gira Conseil, cité par le magazine Challenges.
En Allemagne, le kebab représente même 3,5 milliards d'euros de chiffre d'affaires par an et cela alors que l'Allemagne n'est même pas le premier consommateur au monde de kebab. Il s'agit en fait de l'Angleterre, suivie par la France de très près. Dans l'hexagone, on estime à 14 kebabs le nombre de sandwiches mangés par an et par personne.
Aujourd'hui, le petit sandwich attire de plus en plus la convoitise des grandes marques de grande distribution. Des chaînes naissent comme Nabab Kebab, O'Kebap et Gur et contribuent de fait à changer l'image populaire et parfois négative du kebab.
De plus des marques comme Charal, Sodebo, Daunat et Marie s'y mettent aussi en développant des produits à base de viande hachée, attirant ainsi une clientèle plus jeune et plus orientale. Une réussite pour ce produit, mais également un gâchis pour son créateur, qui n'a jamais fait breveté son invention et qui la voit aujourd'hui se décliner à toutes les sauces...
Plus de 40 ans après sa création, le kebab fait encore recette et bénéficie de la diaspora turque et maghrébine pour son expansion. Ainsi, en France, 280 millions de sandwiches seraient vendus chaque année, contre 710 millions de burgers, d'après une étude du cabinet Gira Conseil, cité par le magazine Challenges.
En Allemagne, le kebab représente même 3,5 milliards d'euros de chiffre d'affaires par an et cela alors que l'Allemagne n'est même pas le premier consommateur au monde de kebab. Il s'agit en fait de l'Angleterre, suivie par la France de très près. Dans l'hexagone, on estime à 14 kebabs le nombre de sandwiches mangés par an et par personne.
Aujourd'hui, le petit sandwich attire de plus en plus la convoitise des grandes marques de grande distribution. Des chaînes naissent comme Nabab Kebab, O'Kebap et Gur et contribuent de fait à changer l'image populaire et parfois négative du kebab.
De plus des marques comme Charal, Sodebo, Daunat et Marie s'y mettent aussi en développant des produits à base de viande hachée, attirant ainsi une clientèle plus jeune et plus orientale. Une réussite pour ce produit, mais également un gâchis pour son créateur, qui n'a jamais fait breveté son invention et qui la voit aujourd'hui se décliner à toutes les sauces...