Pour l'UFC-Que Choisir, le réseau 3G de Free Mobile ne serait pas à la hauteur.
La bataille de la 4G est belle et bien lancée entre les opérateurs, mais les associations de consommateurs veillent et surveillent même encore le réseau 4G, pour la simple et bonne raison que 35 millions de consommateurs sont toujours sur le réseau 3G, contre 1,6 million pour la 4G.
Et à ce petit jeu, Free fait figure de lanterne rouge, d'après Alain Bazot, le président de l'association de consommateurs. Pour cette étude, trois services ont été passés au peigne fin : le téléchargement de vidéos, d'application et l'écoute de musique en ligne.
De plus, l'UFC-Que Choisir en est venu à constater que la qualité des services de Free se dégradait encore plus fortement sur son réseau propre que lorsqu'il utilise celui d'Orange. Une crainte justifiée et orientée vers l'avenir alors que Free a annoncé qu'il devrait couvrir 75 % de la population en 2015, avec son réseau propre. Pour Alain Bazot, Free privilégie le déploiement géographique au détriment de la qualité.
Free a réagi d'emblée à ces attaques en la personne de Maxime Lombardini, le PDG de Free, qui note que la méthodologie de l'association était parfaite dans les années 80 pour étudier le réseau Bibop, mais qu'elle ne correspond plus à l'étude d'un réseau 3G ou 4G actuel. Free devrait saisir la justice dans un futur proche contre UFC-Que Choisir.
De manière plus large, l'association soupçonnerait les opérateurs de dégrader volontairement leur réseau 3G pour pousser leurs clients vers la 4G. Elle vient d'ailleurs de saisir l'Arcep, l'autorité de régulation des télécoms, pour lui demander de fixer un encadrement de la qualité du réseau 3G.
Et à ce petit jeu, Free fait figure de lanterne rouge, d'après Alain Bazot, le président de l'association de consommateurs. Pour cette étude, trois services ont été passés au peigne fin : le téléchargement de vidéos, d'application et l'écoute de musique en ligne.
De plus, l'UFC-Que Choisir en est venu à constater que la qualité des services de Free se dégradait encore plus fortement sur son réseau propre que lorsqu'il utilise celui d'Orange. Une crainte justifiée et orientée vers l'avenir alors que Free a annoncé qu'il devrait couvrir 75 % de la population en 2015, avec son réseau propre. Pour Alain Bazot, Free privilégie le déploiement géographique au détriment de la qualité.
Free a réagi d'emblée à ces attaques en la personne de Maxime Lombardini, le PDG de Free, qui note que la méthodologie de l'association était parfaite dans les années 80 pour étudier le réseau Bibop, mais qu'elle ne correspond plus à l'étude d'un réseau 3G ou 4G actuel. Free devrait saisir la justice dans un futur proche contre UFC-Que Choisir.
De manière plus large, l'association soupçonnerait les opérateurs de dégrader volontairement leur réseau 3G pour pousser leurs clients vers la 4G. Elle vient d'ailleurs de saisir l'Arcep, l'autorité de régulation des télécoms, pour lui demander de fixer un encadrement de la qualité du réseau 3G.