Pokémon GO a été développé par Niantic, une filiale de Google devenue indépendante, le tout supervisé par The Pokémon Company qui seule, détient la propriété intellectuelle des créatures virtuelles. Dans un communiqué, Nintendo a remis les pendules à l’heure en rappelant que l’éditeur ne possédait que 32% des droits de vote de The Pokémon Company et une petite participation dans Niantic. De fait, les retombées financières de Pokémon GO sur ses comptes devraient être limitées.
Nintendo « recevra des droits de licence ainsi qu'une indemnité pour sa collaboration dans le développement et la gestion de l'application », comme l’a indiqué la firme. Mais il ne faudra pas aller chercher plus loin. D’ailleurs, le groupe a conservé ses prévisions pour l’exercice 2017-2017, avec 500 milliards de yens (4,3 milliards d’euros) de chiffres d’affaires.
Le résultat de cette communication ne s’est pas fait attendre : l’action Nintendo a chuté de près de 18% ce lundi 25 juillet à la Bourse de Tokyo. Et cette baisse devrait se poursuivre dans les jours qui viennent. Toutefois, les analystes estiment que Nintendo a maintenant bien saisi tout le potentiel du jeu sur smartphones et que l’entreprise devrait investir plus dans ce secteur.
Nintendo « recevra des droits de licence ainsi qu'une indemnité pour sa collaboration dans le développement et la gestion de l'application », comme l’a indiqué la firme. Mais il ne faudra pas aller chercher plus loin. D’ailleurs, le groupe a conservé ses prévisions pour l’exercice 2017-2017, avec 500 milliards de yens (4,3 milliards d’euros) de chiffres d’affaires.
Le résultat de cette communication ne s’est pas fait attendre : l’action Nintendo a chuté de près de 18% ce lundi 25 juillet à la Bourse de Tokyo. Et cette baisse devrait se poursuivre dans les jours qui viennent. Toutefois, les analystes estiment que Nintendo a maintenant bien saisi tout le potentiel du jeu sur smartphones et que l’entreprise devrait investir plus dans ce secteur.