La Banque de France est resté sur sa précédente estimation qui datait du 9 mai, malgré une progression plus importante de la production industrielle au mois de mai par rapport à avril. Toutefois, le mois de juin devrait connaitre une progression moins importante dans ce secteur, d'où l'absence d'évolution de l'estimation de croissance pour le deuxième trimestre.
L'institution explique dans son communiqué que l'intérim repart à la hausse, ce qui est de bon augure pour les prochains chiffres de l'emploi : une croissance du travail temporaire est souvent le prélude à une hausse de la création d'emplois. En revanche, les activités informatiques ont marqué une pause, selon la Banque de France. Dans le bâtiment, l'activité a connu un rebond, aussi bien dans le gros œuvre que dans le second œuvre. Plus globalement, les chefs d'entreprise se disent optimistes pour le mois de juin.
Si la prévision du taux de croissance pour le deuxième trimestre est restée stable pour le second trimestre, la Banque de France a relevé son estimation pour l'année 2017 : la hausse du produit intérieur brut devrait être de 1,4% pour cette année, soit 0,1 point de plus qu'estimé auparavant. Pour 2018 et 2019, l'institution prévoit 1,6% (contre 1,4% et 1,5%). Quant au précédent gouvernement, il avait prévu 1,5% de croissance pour cette année.
L'institution explique dans son communiqué que l'intérim repart à la hausse, ce qui est de bon augure pour les prochains chiffres de l'emploi : une croissance du travail temporaire est souvent le prélude à une hausse de la création d'emplois. En revanche, les activités informatiques ont marqué une pause, selon la Banque de France. Dans le bâtiment, l'activité a connu un rebond, aussi bien dans le gros œuvre que dans le second œuvre. Plus globalement, les chefs d'entreprise se disent optimistes pour le mois de juin.
Si la prévision du taux de croissance pour le deuxième trimestre est restée stable pour le second trimestre, la Banque de France a relevé son estimation pour l'année 2017 : la hausse du produit intérieur brut devrait être de 1,4% pour cette année, soit 0,1 point de plus qu'estimé auparavant. Pour 2018 et 2019, l'institution prévoit 1,6% (contre 1,4% et 1,5%). Quant au précédent gouvernement, il avait prévu 1,5% de croissance pour cette année.