Le monde dans lequel nous vivons depuis ces 10 à 20 dernières années présente des caractéristiques à la fois étonnantes et effrayantes. Dans le monde Agile, nous le qualifions de VUCA (Volatile, Incertain, Complexe et Ambigu) ou d’Exponentiel.
La Business Agility est l’affaire de tous, managers et collaborateurs. Elle peut être appliquée à toute l’organisation notamment dans ses départements RH, Finances, produits, achats, etc. Son approche holistique de la transformation la rend indispensable à des problématiques : Stratégiques ou comment exécuter avec succès la stratégie au niveau de l’organisation. Teamwork ou comment motiver les collaborateurs à adopter de nouvelles façons de travailler lors de changements à grande échelle. Marketing ou comment adopter des approches adaptatives et itératives pour concevoir des process et des produits centrés sur les attentes du client. RH ou comment transformer la formation en processus permanent afin que les collaborateurs s’approprient non seulement ce qu’ils ont à faire mais aussi comment et pourquoi ? Prenons l’exemple d’une équipe sportive en compétition. Imaginons un jeu en constante évolution, qu’il s’agisse des règles du jeu, du ballon, de la texture du terrain, des tribunes en plein air, des spectateurs, des joueurs, des équipes, etc. Les changements arrivent parfois un par un, parfois en nombre. L’équipe doit faire face et s’adapter en permanence pour continuer à jouer et gagner.
Il en est de même pour le développement des entreprises. Pour rester dans le jeu, il s’agit , tout d’abord, de développer la capacité des joueurs à détecter les changements de règles du jeu, avant qu'un arbitre ne signale une faute ou même ne les expulse. Il faut, dans un second temps, s'adapter plus rapidement que les autres équipes sur le terrain au nouvel environnement et le transformer en une opportunité. Tout cela doit être fait tout en continuant à divertir les spectateurs puisque ce sont eux qui financent cette entreprise. La Business Agility est une démarche qui permet de gérer toutes ses problématiques.
La Business Agility : une méthode de transformation globale de l’entreprise
Pour commencer, voici une liste non exhaustive des thématiques sur lesquelles il convient de travailler. Ces axes de travail doivent être gérés en parallèle et non de manière séquentielle, pour plus d’efficacité. 5 points essentiels doivent guider la démarche.
Une raison d’être Pour revenir dans le domaine du sport, imaginez un jeu qui vous demande énormément d'efforts et de concentration et dont la complexité augmente au fil du jeu. Un jeu qui est si consommateur en énergie que vous finissez par oublier même pourquoi vous jouez. Vous commencez à y réfléchir et si vous ne trouvez pas de raison satisfaisante, vous abandonnez ou changez de club pour un autre parce qu’on a tendance à croire que l’herbe est plus verte ailleurs.
Pour cette raison, il faut que vous ayez une raison d’être, une philosophie, , une cause si grande qu'elle survivra à tout le monde sur le terrain, et si inspirante que personne ne peut l’oublier ou l’ignorer. Que ceux qui pourraient l'oublier, puissent la voir partout sur le terrain, dans les vestiaires, le stade, les gradins, etc.).
Faites un test ! Demandez aux membres de votre équipe ou à vos employés quel est le but de votre entreprise. Si leur réponse est vague, dubitative ou axée uniquement sur le business, c’est que vous avez encore beaucoup de chemin à faire.
Stratégie adaptative La façon traditionnelle de travailler sur la stratégie dans notre analogie de jeu revient à élaborer une tactique de jeu à l'avance, à écouter le match à la radio et à attendre la victoire. Comment pensez-vous pouvoir comprendre le jeu, les nouvelles règles et les difficultés qui en découlent si vous vous comportez en spectateur ?
Le bon entraîneur/manager est celui qui est présent sur le terrain, qui soutient les joueurs, qui donne des instructions en temps réel, qui communique avec l’équipe et qui met à jour les instructions sur place. Cela devient encore plus important et essentiel si les règles du jeu ainsi que les joueurs sont inconnues.
Une stratégie adaptative s’élabore en tenant compte de trois sources d'information capitales : L'intuition, l'ambition et les connaissances de chacun, ainsi que sa propre lecture du jeu Retour d'information, feedback et avis critique des équipes Paramètres extérieurs (ex : cette situation s'est-elle déjà produite auparavant, comment les autres y ont-ils fait face ?)
Elle doit également être précise, claire, comprise par tous et être mise en œuvre sans effort. Il y a une raison pour laquelle nous l'appelons adaptative. Principalement parce qu'il ne faut pas un an pour la définir et cinq ans pour la mettre en œuvre. Si vous voulez qu'elle soit efficace, vous avez besoin d’une base qui soit facilement modifiable lorsque les conditions l'exigent. Comme l'a dit Jeff Bezos, "Être lent c’est être fluide, être fluide c’est être rapide".
L'apprentissage continu Imaginez une équipe habituée à jouer avec un ballon de rugby de taille et de forme différente. Soudain, le jeu change et la balle devient une balle de tennis que vous ne pouvez toucher qu'avec vos pieds. Comment réagiriez-vous ? Votre équipe serait-elle encore capable de jouer. Arrêteriez-vous le jeu et attendriez-vous que votre équipe s'entraîne correctement et commence à s'habituer à la nouvelle forme et aux nouvelles règles ?
Dans notre monde moderne, c’est impossible. Vous ne pouvez tout simplement pas intervenir sur le rythme des évolutions de plus en plus rapide et imprévu. Pour surmonter cela, il faut s'assurer que vos joueurs soient en en apprentissage constant, en permanence et de manière prospective des nouvelles techniques au quotidien. Que ce soit par le biais d'un LMS (Learning Management System) qui met constamment à jour son catalogue ou par des formations ad-hoc, le plus important est de ne jamais interrompre la courbe d'apprentissage et de croissance de vos joueurs afin qu'ils continuent à acquérir de nouvelles compétences et expertises.
Ce faisant, non seulement vous améliorez leurs capacités cognitives, les préparer à accepter le changement et à l'adopter, mais vous créez également une culture de l'excellence.
La place du spectateur à la table ? Avez-vous déjà entendu l'expression "place du client à la table", elle existe depuis un certain temps déjà. Elle me semble erronée, contreproductive, notamment en matière d’innovation. Avec de telles affirmations, nous n'aurions jamais eu de smartphone comme nous en avons aujourd'hui, mais au lieu de cela, nous serions encore en train de nous battre avec un téléphone à clavier de 12 touches.
S'il est important d'obtenir un feedback précoce et de réagir et s'adapter rapidement aux demandes du client, il ne faut pas oublier que vous êtes le SME (Subject Matter Expert) et que votre rôle est de ravir vos clients avec un produit époustouflant qui, tout en résolvant leurs problèmes, séduit par sa simplicité. Mais pour ce faire, vous devez vraiment et soigneusement connaître vos clients et anticiper leurs problèmes, leurs frustrations et leurs besoins. C'est la seule façon d'avoir des clients éblouis au lieu de simplement les satisfaire. Parce que vous limiter à les satisfaire ne vous fera pas sortir de la zone de danger. Construisez plutôt une relation avec vos clients qui vous permettra de les connaître parfaitement. Mieux encore qu'ils ne se connaissent eux-mêmes.
Steve Jobs le résume à merveille dans sa célèbre citation : "Certains disent : ‘Donnez aux clients ce qu'ils veulent.’ Mais ce n'est pas mon approche. Notre travail consiste à comprendre ce qu'ils vont vouloir avant qu'ils ne le fassent. Je crois que Henry Ford a dit un jour : "Si j'avais demandé aux clients ce qu'ils voulaient, ils m'auraient dit : "Un cheval plus rapide ! Les gens ne savent pas ce qu'ils veulent tant que vous ne le leur montrez pas. C'est pourquoi je ne me fie jamais aux études de marché. Notre tâche consiste à lire des choses qui ne sont pas encore sur la page".
L'excellence dans l'exécution Bien sûr, pour offrir un bon jeu, il faut qu'il soit parfaitement exécuté. Il faut qu'il soit merveilleusement bien joué. Mais comment évaluez-vous votre capacité d'exécution ?
Si vos équipes utilisent des raccourcis pour effectuer correctement leurs activités, vous serez confronté à un certain nombre de problèmes. Ce que j'entends par "raccourcis", c'est lorsque les personnes veulent rester sous le radar, aussi discrets que possible, juste pour éviter un processus, ou un service qui ralentirait le travail, alors qu'ils sont pressés de fournir de la valeur aux clients. C'est à ce moment-là que vous devez travailler sur l'excellence de votre exécution, revoir la pertinence de vos processus et propager les apprentissages au reste de l’organisation.
L'excellence de l'exécution est un engagement à augmenter le niveau de productivité pendant l'exécution afin de fournir la plus grande valeur à vos spectateurs dans le plus court laps de temps sans réduire vos exigences (de qualité, de cohérence, de sécurité, de réglementation, etc.) Pour ce faire, vous devez travailler sur l'efficience et l'efficacité de la façon dont les personnes collaborent au sein des équipes. Vous devrez développer une compréhension commune des contraintes, des objectifs et des préoccupations de chacun. Votre excellence technique doit également être irréprochable à ce stade. C'est là que les méthodes agiles sur lesquels vous avez travaillé sont adaptés.
Travailler et améliorer l’excellence dans l’exécution, et vu l’ impact direct qu’elle a sur la productivité de votre entreprise, la rend, par construction, la partie la plus visible de l’iceberg. Travailler uniquement sur cette capacité, rend vos efforts au mieux temporaires avant que les règles du jeu ne changent et au pire inutiles. Comme disait Peter Drucker « Il n'y a rien de si inutile que de faire efficacement ce qui ne devrait pas être fait du tout. »
D’où l’importance de travailler tous les autres aspects en parallèle afin de rendre l’entreprise résiliente et adaptative aux changements. C’est ce qui en fait la partie immergée de l’iceberg mais qui soutient et supporte tous les efforts et investissements effectués sur son excellence opérationnelle et sa vitesse d’exécution.
Au sein de Schoolab, studio d’innovation on/off line, et WoMat, cabinet de conseil en Business Agility nous nous sommes engagés dans la Business Agility avec conviction. Parce qu’elle apporte des solutions pérennes pour la survie, la croissance et le développement des entreprises. Parce qu’elle donne du sens au travail des équipes. Parce qu’elle simplifie les processus pour créer un environnement propice à l’innovation et ainsi garantir la compétitivité de l’entreprise quel que soit l’environnement.
La Business Agility est l’affaire de tous, managers et collaborateurs. Elle peut être appliquée à toute l’organisation notamment dans ses départements RH, Finances, produits, achats, etc. Son approche holistique de la transformation la rend indispensable à des problématiques : Stratégiques ou comment exécuter avec succès la stratégie au niveau de l’organisation. Teamwork ou comment motiver les collaborateurs à adopter de nouvelles façons de travailler lors de changements à grande échelle. Marketing ou comment adopter des approches adaptatives et itératives pour concevoir des process et des produits centrés sur les attentes du client. RH ou comment transformer la formation en processus permanent afin que les collaborateurs s’approprient non seulement ce qu’ils ont à faire mais aussi comment et pourquoi ? Prenons l’exemple d’une équipe sportive en compétition. Imaginons un jeu en constante évolution, qu’il s’agisse des règles du jeu, du ballon, de la texture du terrain, des tribunes en plein air, des spectateurs, des joueurs, des équipes, etc. Les changements arrivent parfois un par un, parfois en nombre. L’équipe doit faire face et s’adapter en permanence pour continuer à jouer et gagner.
Il en est de même pour le développement des entreprises. Pour rester dans le jeu, il s’agit , tout d’abord, de développer la capacité des joueurs à détecter les changements de règles du jeu, avant qu'un arbitre ne signale une faute ou même ne les expulse. Il faut, dans un second temps, s'adapter plus rapidement que les autres équipes sur le terrain au nouvel environnement et le transformer en une opportunité. Tout cela doit être fait tout en continuant à divertir les spectateurs puisque ce sont eux qui financent cette entreprise. La Business Agility est une démarche qui permet de gérer toutes ses problématiques.
La Business Agility : une méthode de transformation globale de l’entreprise
Pour commencer, voici une liste non exhaustive des thématiques sur lesquelles il convient de travailler. Ces axes de travail doivent être gérés en parallèle et non de manière séquentielle, pour plus d’efficacité. 5 points essentiels doivent guider la démarche.
Une raison d’être Pour revenir dans le domaine du sport, imaginez un jeu qui vous demande énormément d'efforts et de concentration et dont la complexité augmente au fil du jeu. Un jeu qui est si consommateur en énergie que vous finissez par oublier même pourquoi vous jouez. Vous commencez à y réfléchir et si vous ne trouvez pas de raison satisfaisante, vous abandonnez ou changez de club pour un autre parce qu’on a tendance à croire que l’herbe est plus verte ailleurs.
Pour cette raison, il faut que vous ayez une raison d’être, une philosophie, , une cause si grande qu'elle survivra à tout le monde sur le terrain, et si inspirante que personne ne peut l’oublier ou l’ignorer. Que ceux qui pourraient l'oublier, puissent la voir partout sur le terrain, dans les vestiaires, le stade, les gradins, etc.).
Faites un test ! Demandez aux membres de votre équipe ou à vos employés quel est le but de votre entreprise. Si leur réponse est vague, dubitative ou axée uniquement sur le business, c’est que vous avez encore beaucoup de chemin à faire.
Stratégie adaptative La façon traditionnelle de travailler sur la stratégie dans notre analogie de jeu revient à élaborer une tactique de jeu à l'avance, à écouter le match à la radio et à attendre la victoire. Comment pensez-vous pouvoir comprendre le jeu, les nouvelles règles et les difficultés qui en découlent si vous vous comportez en spectateur ?
Le bon entraîneur/manager est celui qui est présent sur le terrain, qui soutient les joueurs, qui donne des instructions en temps réel, qui communique avec l’équipe et qui met à jour les instructions sur place. Cela devient encore plus important et essentiel si les règles du jeu ainsi que les joueurs sont inconnues.
Une stratégie adaptative s’élabore en tenant compte de trois sources d'information capitales : L'intuition, l'ambition et les connaissances de chacun, ainsi que sa propre lecture du jeu Retour d'information, feedback et avis critique des équipes Paramètres extérieurs (ex : cette situation s'est-elle déjà produite auparavant, comment les autres y ont-ils fait face ?)
Elle doit également être précise, claire, comprise par tous et être mise en œuvre sans effort. Il y a une raison pour laquelle nous l'appelons adaptative. Principalement parce qu'il ne faut pas un an pour la définir et cinq ans pour la mettre en œuvre. Si vous voulez qu'elle soit efficace, vous avez besoin d’une base qui soit facilement modifiable lorsque les conditions l'exigent. Comme l'a dit Jeff Bezos, "Être lent c’est être fluide, être fluide c’est être rapide".
L'apprentissage continu Imaginez une équipe habituée à jouer avec un ballon de rugby de taille et de forme différente. Soudain, le jeu change et la balle devient une balle de tennis que vous ne pouvez toucher qu'avec vos pieds. Comment réagiriez-vous ? Votre équipe serait-elle encore capable de jouer. Arrêteriez-vous le jeu et attendriez-vous que votre équipe s'entraîne correctement et commence à s'habituer à la nouvelle forme et aux nouvelles règles ?
Dans notre monde moderne, c’est impossible. Vous ne pouvez tout simplement pas intervenir sur le rythme des évolutions de plus en plus rapide et imprévu. Pour surmonter cela, il faut s'assurer que vos joueurs soient en en apprentissage constant, en permanence et de manière prospective des nouvelles techniques au quotidien. Que ce soit par le biais d'un LMS (Learning Management System) qui met constamment à jour son catalogue ou par des formations ad-hoc, le plus important est de ne jamais interrompre la courbe d'apprentissage et de croissance de vos joueurs afin qu'ils continuent à acquérir de nouvelles compétences et expertises.
Ce faisant, non seulement vous améliorez leurs capacités cognitives, les préparer à accepter le changement et à l'adopter, mais vous créez également une culture de l'excellence.
La place du spectateur à la table ? Avez-vous déjà entendu l'expression "place du client à la table", elle existe depuis un certain temps déjà. Elle me semble erronée, contreproductive, notamment en matière d’innovation. Avec de telles affirmations, nous n'aurions jamais eu de smartphone comme nous en avons aujourd'hui, mais au lieu de cela, nous serions encore en train de nous battre avec un téléphone à clavier de 12 touches.
S'il est important d'obtenir un feedback précoce et de réagir et s'adapter rapidement aux demandes du client, il ne faut pas oublier que vous êtes le SME (Subject Matter Expert) et que votre rôle est de ravir vos clients avec un produit époustouflant qui, tout en résolvant leurs problèmes, séduit par sa simplicité. Mais pour ce faire, vous devez vraiment et soigneusement connaître vos clients et anticiper leurs problèmes, leurs frustrations et leurs besoins. C'est la seule façon d'avoir des clients éblouis au lieu de simplement les satisfaire. Parce que vous limiter à les satisfaire ne vous fera pas sortir de la zone de danger. Construisez plutôt une relation avec vos clients qui vous permettra de les connaître parfaitement. Mieux encore qu'ils ne se connaissent eux-mêmes.
Steve Jobs le résume à merveille dans sa célèbre citation : "Certains disent : ‘Donnez aux clients ce qu'ils veulent.’ Mais ce n'est pas mon approche. Notre travail consiste à comprendre ce qu'ils vont vouloir avant qu'ils ne le fassent. Je crois que Henry Ford a dit un jour : "Si j'avais demandé aux clients ce qu'ils voulaient, ils m'auraient dit : "Un cheval plus rapide ! Les gens ne savent pas ce qu'ils veulent tant que vous ne le leur montrez pas. C'est pourquoi je ne me fie jamais aux études de marché. Notre tâche consiste à lire des choses qui ne sont pas encore sur la page".
L'excellence dans l'exécution Bien sûr, pour offrir un bon jeu, il faut qu'il soit parfaitement exécuté. Il faut qu'il soit merveilleusement bien joué. Mais comment évaluez-vous votre capacité d'exécution ?
Si vos équipes utilisent des raccourcis pour effectuer correctement leurs activités, vous serez confronté à un certain nombre de problèmes. Ce que j'entends par "raccourcis", c'est lorsque les personnes veulent rester sous le radar, aussi discrets que possible, juste pour éviter un processus, ou un service qui ralentirait le travail, alors qu'ils sont pressés de fournir de la valeur aux clients. C'est à ce moment-là que vous devez travailler sur l'excellence de votre exécution, revoir la pertinence de vos processus et propager les apprentissages au reste de l’organisation.
L'excellence de l'exécution est un engagement à augmenter le niveau de productivité pendant l'exécution afin de fournir la plus grande valeur à vos spectateurs dans le plus court laps de temps sans réduire vos exigences (de qualité, de cohérence, de sécurité, de réglementation, etc.) Pour ce faire, vous devez travailler sur l'efficience et l'efficacité de la façon dont les personnes collaborent au sein des équipes. Vous devrez développer une compréhension commune des contraintes, des objectifs et des préoccupations de chacun. Votre excellence technique doit également être irréprochable à ce stade. C'est là que les méthodes agiles sur lesquels vous avez travaillé sont adaptés.
Travailler et améliorer l’excellence dans l’exécution, et vu l’ impact direct qu’elle a sur la productivité de votre entreprise, la rend, par construction, la partie la plus visible de l’iceberg. Travailler uniquement sur cette capacité, rend vos efforts au mieux temporaires avant que les règles du jeu ne changent et au pire inutiles. Comme disait Peter Drucker « Il n'y a rien de si inutile que de faire efficacement ce qui ne devrait pas être fait du tout. »
D’où l’importance de travailler tous les autres aspects en parallèle afin de rendre l’entreprise résiliente et adaptative aux changements. C’est ce qui en fait la partie immergée de l’iceberg mais qui soutient et supporte tous les efforts et investissements effectués sur son excellence opérationnelle et sa vitesse d’exécution.
Au sein de Schoolab, studio d’innovation on/off line, et WoMat, cabinet de conseil en Business Agility nous nous sommes engagés dans la Business Agility avec conviction. Parce qu’elle apporte des solutions pérennes pour la survie, la croissance et le développement des entreprises. Parce qu’elle donne du sens au travail des équipes. Parce qu’elle simplifie les processus pour créer un environnement propice à l’innovation et ainsi garantir la compétitivité de l’entreprise quel que soit l’environnement.
Issame EL KHARBILI – Business Agility Coach & CEO WoMat