Pourtant, le gouvernement pouvait s'attendre à un retournement de situation suite à la dernière manifestation du 14 juin, qui a entraîné des violences et des dégradations importantes, notamment à l'hôpital Necker. Las. « On peut penser que le gouvernement, engagé dans un bras de fer avec la CGT, comptait sur un retournement ou à défaut sur une érosion du soutien ou de la bienveillance de l'opinion vis-à-vis de la contestation », écrit d'ailleurs l'Ifop.
Pire encore pour le gouvernement : le soutien à la contestation augmente depuis le précédent sondage de début juin, où 59% des Français estimaient qu'elle se justifiait. Entre temps, en plus des incidents à l'hôpital Necker, il y a eu la poursuite des perturbations pendant le lancement de l'Euro de football…
Le gouvernement aura du mal à s'appuyer sur sa base militante pour faire passer la pilule auprès de l'opinion. Ils sont en effet 49% des sympathisants du Parti socialiste à estimer que le mouvement est justifié. À l'inverse, 63% des sympathisants des Républicains sont hostiles à la contestation… Le monde à l'envers.
Pire encore pour le gouvernement : le soutien à la contestation augmente depuis le précédent sondage de début juin, où 59% des Français estimaient qu'elle se justifiait. Entre temps, en plus des incidents à l'hôpital Necker, il y a eu la poursuite des perturbations pendant le lancement de l'Euro de football…
Le gouvernement aura du mal à s'appuyer sur sa base militante pour faire passer la pilule auprès de l'opinion. Ils sont en effet 49% des sympathisants du Parti socialiste à estimer que le mouvement est justifié. À l'inverse, 63% des sympathisants des Républicains sont hostiles à la contestation… Le monde à l'envers.