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La mauvaise nouvelle est totale : le gouvernement, la Banque de France et même l’Insee se sont avérés avoir été optimistes quant à la croissance pour la France en 2016. Le PIB de l’Hexagone n’aura augmenté que de 1,1 %, le même niveau qu’en 2015 (après révision à la baisse par l’Insee au printemps 2016). On est loin des 1,4 % de croissance attendus par Bercy et même des 1,5 % prévus dans la Loi de Finances 2016.
L’Insee et la Banque de France avaient été moins optimistes en ne tablant que sur une croissance de 1,3 % pour 2016 mais ils auront été également déçus. La croissance aura déçu aussi Bruxelles, le FMI et l’OCDE qui ne croyaient pas à la reprise économique française espérée par le gouvernement et ne tablaient que sur une croissance de 1,2 % sur l’année en 2016 pour l’Hexagone.
C’est un problème : non seulement la croissance n’est pas encore au rendez-vous mais le gouvernement va devoir trouver un moyen de faire baisser le déficit public. Le Pacte de Stabilité prévoit un déficit qui ne soit pas supérieur à 3 % pour les pays membres de l’Union Européenne et la France a jusqu’à fin 2017 pour faire chuter son déficit sous cette barre.
L’objectif aurait du être atteint avec les prévisions de croissance du gouvernement, soit 1,5 % en 2016 et 1,5 % en 2017 mais il s’éloigne.
L’Insee et la Banque de France avaient été moins optimistes en ne tablant que sur une croissance de 1,3 % pour 2016 mais ils auront été également déçus. La croissance aura déçu aussi Bruxelles, le FMI et l’OCDE qui ne croyaient pas à la reprise économique française espérée par le gouvernement et ne tablaient que sur une croissance de 1,2 % sur l’année en 2016 pour l’Hexagone.
C’est un problème : non seulement la croissance n’est pas encore au rendez-vous mais le gouvernement va devoir trouver un moyen de faire baisser le déficit public. Le Pacte de Stabilité prévoit un déficit qui ne soit pas supérieur à 3 % pour les pays membres de l’Union Européenne et la France a jusqu’à fin 2017 pour faire chuter son déficit sous cette barre.
L’objectif aurait du être atteint avec les prévisions de croissance du gouvernement, soit 1,5 % en 2016 et 1,5 % en 2017 mais il s’éloigne.