© Shutterstock/EconomieMatin
La France se distingue puisque le ministère de l’Écologie a repoussé de trois mois la publication du texte qui prévoyait à l’origine l’interdiction des sacs en plastique au 1er janvier de l’année prochaine. Ce report n’est pas réellement de la volonté du gouvernement, mais plutôt de la Commission européenne.
Ségolène Royal a en effet expliqué au Journal du Dimanche que Bruxelles avait demandé des précisions concernant le décret. Malgré tout, après la signature d’un accord historique à Paris concernant la protection de l’environnement, ce délai dans l’application d’une mesure forte fait désordre, surtout provenant du pays où ce fameux accord a été pris.
Le Parlement européen a, en avril dernier, dont son feu vert à un objectif ambitieux de réduction des sacs plastique. Les États ont deux possibilités : soit obliger à faire payer ces sacs, soit les réduire à 40 par personne et par an à l’horizon 2025. Actuellement, ce nombre est de 200 par européen chaque année.
Ségolène Royal a en effet expliqué au Journal du Dimanche que Bruxelles avait demandé des précisions concernant le décret. Malgré tout, après la signature d’un accord historique à Paris concernant la protection de l’environnement, ce délai dans l’application d’une mesure forte fait désordre, surtout provenant du pays où ce fameux accord a été pris.
Le Parlement européen a, en avril dernier, dont son feu vert à un objectif ambitieux de réduction des sacs plastique. Les États ont deux possibilités : soit obliger à faire payer ces sacs, soit les réduire à 40 par personne et par an à l’horizon 2025. Actuellement, ce nombre est de 200 par européen chaque année.