Une génération difficile à capter
La génération Z se réalise en communauté. Oui, mais au travers de plusieurs groupes qui bien souvent ne se mélangent pas. Encore étudiants pour la plupart, les Zillennials ont confiance en leurs capacités. Ils savent ce qu’ils veulent et attendent des marques qu’elles les aident à avancer. À chaque groupe ses usages, ses consommations et ses codes. Un seul et même individu peut ainsi avoir différentes typologies de consommation au même moment de sa vie. Il faut donc créer des micro-espaces dédiés à chaque groupe, pour que la communauté, et donc l’individu, puisse échanger et s’approprier les propos de la marque.
Pour cette génération , un contenu imposé non désiré fait perdre des points à la marque. Comme les Millennials, les Zillennials ont besoin d’interaction. Sensibles aux actions des marques, ils n’hésiteront pas à passer à la concurrence s’ils considèrent que l’une d’elles n’est pas en accord avec leurs valeurs. Et s’ils sont déçus, ils sortiront de leur silence, et les réseaux sociaux deviendront rapidement une arme pour « alerter » leurs pairs. Le militantisme s’invite dans la consommation : cette génération « sait » et le revendique. Alors que la génération d’avant avait besoin d’un décodeur, la génération Z décrypte, parfois même de manière inconsciente, le plan marketing des marques. Au-delà du « simple » placement produit, la génération Z est plus sensible aux collaborations marque-influenceur assumées. La démarche mercantile est autorisée ; ce qu’il ne l’est pas, c’est de ne pas assumer et de cacher cette démarche.
Pour cette génération , un contenu imposé non désiré fait perdre des points à la marque. Comme les Millennials, les Zillennials ont besoin d’interaction. Sensibles aux actions des marques, ils n’hésiteront pas à passer à la concurrence s’ils considèrent que l’une d’elles n’est pas en accord avec leurs valeurs. Et s’ils sont déçus, ils sortiront de leur silence, et les réseaux sociaux deviendront rapidement une arme pour « alerter » leurs pairs. Le militantisme s’invite dans la consommation : cette génération « sait » et le revendique. Alors que la génération d’avant avait besoin d’un décodeur, la génération Z décrypte, parfois même de manière inconsciente, le plan marketing des marques. Au-delà du « simple » placement produit, la génération Z est plus sensible aux collaborations marque-influenceur assumées. La démarche mercantile est autorisée ; ce qu’il ne l’est pas, c’est de ne pas assumer et de cacher cette démarche.