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Alors que Martin Bouygues ne semble pas trouver de solution franco-française pour se défaire de son opérateur Bouygues Telecom chez qui les licenciements économiques continuent pour tenter de redresser la barre, Orange est de nouveau sur le devant de la scène. Samedi 5 juillet Stéphane Richard n’a pas exclu un rapprochement entre les deux entités. Mais seulement s’il y a un autre acteur en jeu.
Une position qui peut paraître étrange mais qui, finalement, ne l’est pas. Martin Bouygues est en effet en train de chercher un repreneur en Europe, notamment en Espagne ou en Belgique voir même dans les pays de l’Est. Même si l’Espagne serait « une priorité ».
Toutefois, le PDG de Bouygues Telecom est conscient que le prix qu’il demande est peut-être trop élevé. C’est d’ailleurs sur ce point qu’ont été bloquées les discussions entre Orange et Bouygues pour un éventuel rachat : Martin Bouygues demandait entre 7 et 8 milliards d’euros. Trop cher pour Orange ; et même pour Free qui avait fait une offre informelle aux alentours des 5 milliards d’euros.
Mais il semblerait que Bouygues intéresse tout de même Stéphane Richard qui, s’il n’est pas prêt à racheter purement et simplement l’opérateur de Martin Bouygues, n’exclut pas entrer en jeu avec un tiers : « si quelqu'un d'autre décide de le faire et nous sollicite pour, peut-être, permettre d'élaborer une offre qui peut satisfaire Bouygues, bien sûr qu'on regardera. »
Une position qui peut paraître étrange mais qui, finalement, ne l’est pas. Martin Bouygues est en effet en train de chercher un repreneur en Europe, notamment en Espagne ou en Belgique voir même dans les pays de l’Est. Même si l’Espagne serait « une priorité ».
Toutefois, le PDG de Bouygues Telecom est conscient que le prix qu’il demande est peut-être trop élevé. C’est d’ailleurs sur ce point qu’ont été bloquées les discussions entre Orange et Bouygues pour un éventuel rachat : Martin Bouygues demandait entre 7 et 8 milliards d’euros. Trop cher pour Orange ; et même pour Free qui avait fait une offre informelle aux alentours des 5 milliards d’euros.
Mais il semblerait que Bouygues intéresse tout de même Stéphane Richard qui, s’il n’est pas prêt à racheter purement et simplement l’opérateur de Martin Bouygues, n’exclut pas entrer en jeu avec un tiers : « si quelqu'un d'autre décide de le faire et nous sollicite pour, peut-être, permettre d'élaborer une offre qui peut satisfaire Bouygues, bien sûr qu'on regardera. »