cc/flickr/Arrels Fundacio
Le possible rachat d’AstraZeneca par Pfizer a été dévoilé par le Sunday Times puis repris largement dans les médias y compris par Bloomberg. Les deux sociétés n’ont, de leur côté, pas fait de commentaires ; mais selon les sources du Sunday Times la question serait sur la table depuis plusieurs mois. Une offre informelle aurait même été faite par Pfizer à AstraZeneca : 100 milliards de dollars. L’opération pourrait toutefois avoisiner de manière plus réaliste les 80 milliards de dollars.
Une fusion de cette envergure lancerait une série de fusions-acquisitions dans le secteur et, hasard ou confirmation, c’est déjà le cas avec le rapprochement entre Novartis et GlaxoSmithKline (GSK).
Le groupe pharmaceutique Novartis a en effet annoncé avoir racheté la division de recherche et commercialisation des médicaments contre le cancer à GSK pour la somme de 16 milliards de dollars. En contrepartie, GSK devrait acquérir la division « vaccins » (hors vaccin contre la grippe) de Novartis pour la somme de 7,1 milliards de dollars.
De plus, toujours dans l’optique de recentrer les activités de Novartis, selon Joseph Jimenez, directeur exécutif du laboratoire pharmaceutique, la division « soins vétérinaires » de Novartis aurait été cédée au groupe Eli Lilly pour 5,4 milliards de dollars.
Mais les changements dans le secteur ne s’arrêtent pas là. Afin d’améliorer leurs profits, GSK et Novartis ont annoncé lancer un partenariat dans le domaine des médicaments sans prescription afin d’améliorer les revenus des deux compagnies. Combinées, les ventes des médicaments en vente libre des deux groupes devraient avoisiner les 10 milliards de dollars.
Une fusion de cette envergure lancerait une série de fusions-acquisitions dans le secteur et, hasard ou confirmation, c’est déjà le cas avec le rapprochement entre Novartis et GlaxoSmithKline (GSK).
Le groupe pharmaceutique Novartis a en effet annoncé avoir racheté la division de recherche et commercialisation des médicaments contre le cancer à GSK pour la somme de 16 milliards de dollars. En contrepartie, GSK devrait acquérir la division « vaccins » (hors vaccin contre la grippe) de Novartis pour la somme de 7,1 milliards de dollars.
De plus, toujours dans l’optique de recentrer les activités de Novartis, selon Joseph Jimenez, directeur exécutif du laboratoire pharmaceutique, la division « soins vétérinaires » de Novartis aurait été cédée au groupe Eli Lilly pour 5,4 milliards de dollars.
Mais les changements dans le secteur ne s’arrêtent pas là. Afin d’améliorer leurs profits, GSK et Novartis ont annoncé lancer un partenariat dans le domaine des médicaments sans prescription afin d’améliorer les revenus des deux compagnies. Combinées, les ventes des médicaments en vente libre des deux groupes devraient avoisiner les 10 milliards de dollars.