Le programme PR² – ou Partenariat Renforcé PME-Recherche – s’adresse à toutes les PME françaises. D’après le CNRS qui chapeaute ce dispositif, son objectif est de « favoriser le transfert des technologies matures » mais non utilisées et en possession de l’organisme public. Le principal organisme de recherche national dispose en effet d’un important portefeuille de brevets pouvant d’ores et déjà servir au développement de produits et procédés innovants mais demeurant inexploités.
Ces brevets portent en effet sur des technologies suffisamment matures pour être exploités industriellement. Ils portent un nombre extensif de domaines d’activité et de recherche allant de l’agroalimentaire à la mécanique en passant par l’électronique, la médecine, l’optique ou encore la chimie. Quel que soit son secteur ou sa filière, toute PME peut espérer trouver un brevet utile à son activité dans le catalogue du CNRS, par ailleurs accessible via le moteur de recherche spécialisé et baptisé FRINNOV.
Avec PR², les entreprises qui souhaitent se lancer dans une démarche d’innovation se voient ainsi proposer d’accéder à moindres coûts aux fruits de la recherche de pointe et donc l’utiliser pour poursuivre leur développement. Ainsi, à l’issue d’une analyse de ses besoins technologiques, toute entreprise peut en effet se voir proposer la cession d’un ou plusieurs brevets utile à son activité. Une fois décidé, le transfert de technologie est ensuite établi dans le cadre d’un contrat.
Mais aussi bienvenu soit-il, ce cadeau de la recherche publique fait au milieu entrepreneurial ne se fait pas sans contrepartie. Une fois les besoins de l’entreprise identifiés, un partenariat de recherche est en effet passé avec les laboratoires du CNRS. Cette collaboration a pour objet d’adapter la technologie retenue pour le transfert et de s’assurer de sa bonne intégration dans l’entreprise. Ce n’est qu’à l’issue de cette phase de test qui peut durer sur plusieurs mois que le brevet est effectivement cédé à l’entreprise. Le dispositif est donc long et exigeant et est conçu pour ne profiter qu’aux entreprises les plus déterminées.
Inauguré en novembre 2011, le dispositif PR² acte de la résolution de la France à favoriser des synergies significatives entre le milieu de la recherche et son tissu économique. Pour les pouvoirs publics, les attentes associées à ce programme sont facilement identifiables : dans un pays où la compétitivité prix pose un problème durable, faciliter les démarches d’innovation doit permettre de redresser les performances à l’exportation par une revalorisation qualitative de l’offre. Pour les entreprises, PR² constitue bien évidemment l’occasion de poursuivre un développement en intégrant un savoir-faire de qualité et susceptible de lui ouvrir de nouveaux marchés. Une contrainte demeure toutefois et les entreprises candidates doivent en avoir conscience : l’obligation de résultat les lie au CNRS au moins dans les premières étapes du dispositif.
Ces brevets portent en effet sur des technologies suffisamment matures pour être exploités industriellement. Ils portent un nombre extensif de domaines d’activité et de recherche allant de l’agroalimentaire à la mécanique en passant par l’électronique, la médecine, l’optique ou encore la chimie. Quel que soit son secteur ou sa filière, toute PME peut espérer trouver un brevet utile à son activité dans le catalogue du CNRS, par ailleurs accessible via le moteur de recherche spécialisé et baptisé FRINNOV.
Avec PR², les entreprises qui souhaitent se lancer dans une démarche d’innovation se voient ainsi proposer d’accéder à moindres coûts aux fruits de la recherche de pointe et donc l’utiliser pour poursuivre leur développement. Ainsi, à l’issue d’une analyse de ses besoins technologiques, toute entreprise peut en effet se voir proposer la cession d’un ou plusieurs brevets utile à son activité. Une fois décidé, le transfert de technologie est ensuite établi dans le cadre d’un contrat.
Mais aussi bienvenu soit-il, ce cadeau de la recherche publique fait au milieu entrepreneurial ne se fait pas sans contrepartie. Une fois les besoins de l’entreprise identifiés, un partenariat de recherche est en effet passé avec les laboratoires du CNRS. Cette collaboration a pour objet d’adapter la technologie retenue pour le transfert et de s’assurer de sa bonne intégration dans l’entreprise. Ce n’est qu’à l’issue de cette phase de test qui peut durer sur plusieurs mois que le brevet est effectivement cédé à l’entreprise. Le dispositif est donc long et exigeant et est conçu pour ne profiter qu’aux entreprises les plus déterminées.
Inauguré en novembre 2011, le dispositif PR² acte de la résolution de la France à favoriser des synergies significatives entre le milieu de la recherche et son tissu économique. Pour les pouvoirs publics, les attentes associées à ce programme sont facilement identifiables : dans un pays où la compétitivité prix pose un problème durable, faciliter les démarches d’innovation doit permettre de redresser les performances à l’exportation par une revalorisation qualitative de l’offre. Pour les entreprises, PR² constitue bien évidemment l’occasion de poursuivre un développement en intégrant un savoir-faire de qualité et susceptible de lui ouvrir de nouveaux marchés. Une contrainte demeure toutefois et les entreprises candidates doivent en avoir conscience : l’obligation de résultat les lie au CNRS au moins dans les premières étapes du dispositif.