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Lors d'une enquête interne, le groupe automobile a découvert des « incohérences inexpliquées » concernant des émissions de dioxyde de carbone (CO2), provenant de moteurs diesel 1,4 litre, 1,6 litre et 2 litres dans des voitures de marques Audi, VW, Skoda et Seat. 800 000 voitures sont concernées : elles masquaient les niveaux d'émissions réels du CO2.
C'est une nouveauté inquiétante, car jusqu'à présent le logiciel truqueur intégré aux quelques 11 millions de véhicules trichait avec les émissions d'oxydes d'azote (NOx).C'est donc un rebondissement dans ce dossier déjà bien chargé.
Volkswagen, qui estime le coût économique de la gestion de ces 800 000 véhicules à deux milliards d'euros, a pris contact avec les autorités des pays concernés afin de gérer les conséquences de cette découverte. Celle-ci pourrait ne pas être la dernière, puisque le constructeur a entamé des procédures sur les moteurs diesel de toutes ses marques, suite à l'éclatement du scandale du logiciel frauduleux fin septembre.
C'est une nouveauté inquiétante, car jusqu'à présent le logiciel truqueur intégré aux quelques 11 millions de véhicules trichait avec les émissions d'oxydes d'azote (NOx).C'est donc un rebondissement dans ce dossier déjà bien chargé.
Volkswagen, qui estime le coût économique de la gestion de ces 800 000 véhicules à deux milliards d'euros, a pris contact avec les autorités des pays concernés afin de gérer les conséquences de cette découverte. Celle-ci pourrait ne pas être la dernière, puisque le constructeur a entamé des procédures sur les moteurs diesel de toutes ses marques, suite à l'éclatement du scandale du logiciel frauduleux fin septembre.