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Les moyens mis en œuvre pour cette campagne qui devrait durer 2 ans sont énormes : 4 milliards d’euros auxquels vont participer l’ensemble des Etats membres. Une bricole si on les compare au coût du stress annuel pour l’Union Européenne.
Une étude menée à grande échelle estime que chaque année près de 240 milliards d’euros sont perdus dans l’ensemble de l’Union Européenne à cause du stress. Pour la seule France, ce coût est estimé à 3 milliards d’euros par an. Et si le stress coûte cher, c’est notamment car il est la deuxième cause de maladie liée au travail après les douleurs musculaires et osseuses.
Le résultat de cet absentéisme est important et a touché, ces neuf dernières années, près de 28% des travailleurs européens. Au Royaume-Uni, en moyenne, un employé s’absente 22,6 jours par an à cause de la fatigue et du stress, soit un mois ouvré par an.
Ce n’est donc pas étonnant que le coût le plus important lié au stress ne soit pas induit par les soins. Si ces derniers sont estimés à 106 milliards d’euros par an dans l’Union Européenne, ils ne représentent pas la moitié de la somme.
Les 136 milliards d’euros restants sont des pertes liées à l’absentéisme mais également à la diminution de l’efficacité et de la performance des travailleurs stressés.
Une étude menée à grande échelle estime que chaque année près de 240 milliards d’euros sont perdus dans l’ensemble de l’Union Européenne à cause du stress. Pour la seule France, ce coût est estimé à 3 milliards d’euros par an. Et si le stress coûte cher, c’est notamment car il est la deuxième cause de maladie liée au travail après les douleurs musculaires et osseuses.
Le résultat de cet absentéisme est important et a touché, ces neuf dernières années, près de 28% des travailleurs européens. Au Royaume-Uni, en moyenne, un employé s’absente 22,6 jours par an à cause de la fatigue et du stress, soit un mois ouvré par an.
Ce n’est donc pas étonnant que le coût le plus important lié au stress ne soit pas induit par les soins. Si ces derniers sont estimés à 106 milliards d’euros par an dans l’Union Européenne, ils ne représentent pas la moitié de la somme.
Les 136 milliards d’euros restants sont des pertes liées à l’absentéisme mais également à la diminution de l’efficacité et de la performance des travailleurs stressés.