Six magasins Bricorama sont actuellement menacés de fermeture, perdant trop d'argent à ne pas ouvrir le dimanche.
Selon le président du groupe, Jean-Claude Bourrelier, le site de Montigny se voulait être avant tout un magasin de centre-ville. Non loin, de l'emplacement du magasin, à moins de 5 kilomètres de là, un magasin Leroy-Merlin a ouvert ses portes. Lui peut ouvrir le dimanche, pas celui de Bricorama.
Ce magasin de 17 salariés perdait 100 000 euros par mois. Un des effets de la "concurrence déloyale" de ses concurrents, Castorama et Leroy Merlin, dont parle le PDG du groupe Bricorama. Les 17 salariés pourraient être reclassés dans d'autres magasins d'Île-de-France. Mais ici, le problème, ce n'est pas le licenciement.
Actuellement, deux autres magasins seraient menacés de fermeture sur la région parisienne, et quatre autres menacés, ce qui représente 500 emplois sur les 2 500 du groupe. Et cela pour avoir appliquer la loi dont la règle est de ne pas ouvrir le dimanche. Reste alors les exceptions.
Ce pourquoi Castorama et Leroy Merlin ont engagé un bras de fer avec la justice. Ces derniers maintiennent leurs enseignes ouvertes le dimanche, malgré la décision de justice du tribunal de commerce de Bobigny et l'astreinte de 120 000 euros par magasin et par dimanche ouvert.
La décision avait été rendue après que Bricorama ait saisi la justice en référé, s'étant estimé lésé pour ne pas avoir reçu d'autorisations dérogatoires pour ouvrir ses magasins le dimanche. Désormais, le directeur de Bricorama continue de se battre. "Tant que la concurrence sera déloyale, je me battrai pour que nous soyons tous fermés, tous ouverts, mais tous égaux" a-t-il notamment déclaré ce mercredi à l'antenne de RTL.
Ce magasin de 17 salariés perdait 100 000 euros par mois. Un des effets de la "concurrence déloyale" de ses concurrents, Castorama et Leroy Merlin, dont parle le PDG du groupe Bricorama. Les 17 salariés pourraient être reclassés dans d'autres magasins d'Île-de-France. Mais ici, le problème, ce n'est pas le licenciement.
Actuellement, deux autres magasins seraient menacés de fermeture sur la région parisienne, et quatre autres menacés, ce qui représente 500 emplois sur les 2 500 du groupe. Et cela pour avoir appliquer la loi dont la règle est de ne pas ouvrir le dimanche. Reste alors les exceptions.
Ce pourquoi Castorama et Leroy Merlin ont engagé un bras de fer avec la justice. Ces derniers maintiennent leurs enseignes ouvertes le dimanche, malgré la décision de justice du tribunal de commerce de Bobigny et l'astreinte de 120 000 euros par magasin et par dimanche ouvert.
La décision avait été rendue après que Bricorama ait saisi la justice en référé, s'étant estimé lésé pour ne pas avoir reçu d'autorisations dérogatoires pour ouvrir ses magasins le dimanche. Désormais, le directeur de Bricorama continue de se battre. "Tant que la concurrence sera déloyale, je me battrai pour que nous soyons tous fermés, tous ouverts, mais tous égaux" a-t-il notamment déclaré ce mercredi à l'antenne de RTL.