La principale revendication des conducteurs VTC concerne leur rémunération, qui a sensiblement baissé depuis l’augmentation de la commission prélevée par la société. Celle-ci est en effet passée de 20% à 25%. Alain Vidalies, le secrétaire d’État aux Transports, a proposé qu’Uber revienne au taux de 20%, au moins pendant la durée des négociations.
La multinationale, qui a mis au point le concept et est le numéro 1 du secteur, n’a pas rejeté la mesure (l’entreprise n’oublie pas de préciser qu’elle ne serait que « temporaire »), mais indique qu’elle a besoin d’un délai supplémentaire. Ce que le gouvernement semble prêt à lui donner ; le secrétaire d’État a ainsi proposé de mettre en place un « cycle de discussions » entre les deux parties.
Il s’agit de discuter autour de quatre thématiques : « La tarification, les conditions de déconnexion des plateformes pour les chauffeurs, la protection sociale, et les charges ». Des sujets sensibles sur lesquels les chauffeurs et Uber auront jusqu’au 31 janvier prochain pour se décider.
La multinationale, qui a mis au point le concept et est le numéro 1 du secteur, n’a pas rejeté la mesure (l’entreprise n’oublie pas de préciser qu’elle ne serait que « temporaire »), mais indique qu’elle a besoin d’un délai supplémentaire. Ce que le gouvernement semble prêt à lui donner ; le secrétaire d’État a ainsi proposé de mettre en place un « cycle de discussions » entre les deux parties.
Il s’agit de discuter autour de quatre thématiques : « La tarification, les conditions de déconnexion des plateformes pour les chauffeurs, la protection sociale, et les charges ». Des sujets sensibles sur lesquels les chauffeurs et Uber auront jusqu’au 31 janvier prochain pour se décider.