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Mardi 13 juin 2017 la nouvelle est tombée : dans un mail envoyé aux employés de la start-up spécialisée dans les VTC, Travis Kalanick annonce son départ. Officiellement, il prend un peu de repos, une sorte de congé sabbatique, afin de travailler sur lui-même. Mais il est possible qu’il ait été écarté de sa propre entreprise.
Si la direction d’Uber précise qu’il restera disponible en cas de décisions importantes, Travis Kalanick n’est plus en charge de la start-up milliardaire. Un fait qui est conforme aux recommandations faites le même jour par le cabinet d’avocats chargé de réaliser une enquête interne sur la réputation d’Uber et sur les actions à prendre pour redorer son image. Parmi ces recommandations il y avait le fait de réduire la responsabilité de Travis Kalanick au minimum nécessaire et de confier à d’autres dirigeants certaines tâches.
L’annonce du départ d’Uber tombe en plein scandale pour harcèlement sexuel au sein de l’entreprise qui, semble-t-il, doit fortement travailler sur sa culture. Le même jour, mardi 13 juin 2017, un autre membre du conseil d’administration a présenté sa démission. Il s’agit de l’homme d’affaires David Bonderman.
Selon le New York Times, l’homme a dû démissionner à la suite de propos sexistes proférés à l’encontre des femmes durant une réunion dans la matinée, réunion qui portait entre autres sur le harcèlement et le sexisme au sein d’Uber. Alors qu’Arianna Huffington, membre du Conseil d’Administration d4Uber, estimait utile d’intégrer une autre femme au sein du conseil, il aurait déclaré que cela n’aurait fait qu’augmenter les bavardages.
Si la direction d’Uber précise qu’il restera disponible en cas de décisions importantes, Travis Kalanick n’est plus en charge de la start-up milliardaire. Un fait qui est conforme aux recommandations faites le même jour par le cabinet d’avocats chargé de réaliser une enquête interne sur la réputation d’Uber et sur les actions à prendre pour redorer son image. Parmi ces recommandations il y avait le fait de réduire la responsabilité de Travis Kalanick au minimum nécessaire et de confier à d’autres dirigeants certaines tâches.
L’annonce du départ d’Uber tombe en plein scandale pour harcèlement sexuel au sein de l’entreprise qui, semble-t-il, doit fortement travailler sur sa culture. Le même jour, mardi 13 juin 2017, un autre membre du conseil d’administration a présenté sa démission. Il s’agit de l’homme d’affaires David Bonderman.
Selon le New York Times, l’homme a dû démissionner à la suite de propos sexistes proférés à l’encontre des femmes durant une réunion dans la matinée, réunion qui portait entre autres sur le harcèlement et le sexisme au sein d’Uber. Alors qu’Arianna Huffington, membre du Conseil d’Administration d4Uber, estimait utile d’intégrer une autre femme au sein du conseil, il aurait déclaré que cela n’aurait fait qu’augmenter les bavardages.