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Selon le journal local The Courier, qui a pu interviewer Gary Bretch, PDG de l’entreprise Bretch Cabinets basée à Waterloo dans l’Iowa, le voyage se déroulera comme suit : après un vol jusqu’à Miami et une nuit dans un hôtel cinq étoiles, les salariés du groupe partiront en croisière pendant quatre jours dans les Caraïbes. Les vacances se dérouleront du 9 au 13 janvier 2017 selon ce qu’annonce l’entreprise sur Facebook qui prévient ses clients que l’usine et toutes ses filiales seront fermées durant cette période.
Une manière de récompenser les salariés qui ont réussi à atteindre les objectifs fixés par leur patron alors que la crise économiques de 2008 semble doucement s’éloigner. Depuis 2011, d’ailleurs, l’entreprise a embauché 200 salariés faisant passer ses effectifs de 600 à 800. Un nombre qui reste toutefois inférieur au maximum atteint par le groupe, 1 000 salariés. Mais la crise a eu raison d’une partie du chiffre d’affaires et des revenus.
La décision d’offrir un voyage aux Caraïbes à l’intégralité des 800 salariés n’est toutefois pas nouvelle : c’était une tradition en cas de réussite annuelle jusqu’en 2005. Depuis 2005, toutefois, les résultats ne permettaient plus de dépenser autant en étrennes malgré, bien évidemment, un prix sans aucun doute négocié auprès de la société de loisirs.
De plus en plus de patrons semblent prendre conscience de la nécessité de rémunérer les salariés à juste titre et, surtout, de partager avec eux le fruit de la réussite de l’entreprise dont ils sont à l’origine.
Une manière de récompenser les salariés qui ont réussi à atteindre les objectifs fixés par leur patron alors que la crise économiques de 2008 semble doucement s’éloigner. Depuis 2011, d’ailleurs, l’entreprise a embauché 200 salariés faisant passer ses effectifs de 600 à 800. Un nombre qui reste toutefois inférieur au maximum atteint par le groupe, 1 000 salariés. Mais la crise a eu raison d’une partie du chiffre d’affaires et des revenus.
La décision d’offrir un voyage aux Caraïbes à l’intégralité des 800 salariés n’est toutefois pas nouvelle : c’était une tradition en cas de réussite annuelle jusqu’en 2005. Depuis 2005, toutefois, les résultats ne permettaient plus de dépenser autant en étrennes malgré, bien évidemment, un prix sans aucun doute négocié auprès de la société de loisirs.
De plus en plus de patrons semblent prendre conscience de la nécessité de rémunérer les salariés à juste titre et, surtout, de partager avec eux le fruit de la réussite de l’entreprise dont ils sont à l’origine.