L’histoire a la couleur d’un cadeau de Noël avant l’heure, mais son goût est un peu amer malgré tout. 230 ouvriers de l’aciérie belge de Thy-Marcinelle, à Charleroi en Belgique, ont reçu un salaire de 30 000 euros pour le mois d’octobre. Une somme sans commune mesure avec une rémunération qui tourne en moyenne autour de 1 600 euros par mois… Ces salariés s’attendaient à une prime de 100 euros pour octobre, mais pas à un tel cadeau. Et pour cause, c’est bien sûr une erreur de l’entreprise.
La comptabilité de l’usine a multiplié les heures de travail par 100, ce qui explique les sommes rondelettes versées aux ouvriers. Cette bourde représente 7 millions d’euros pour l’entreprise, qui cherche élève évidemment à recouvrir ces salaires versés avec un peu trop de générosité. Dans un courrier, la direction demande donc aux salariés de retourner les sommes trop perçues. Ici, la loi est du côté de l’entreprise. Les récalcitrants pourront être poursuivis en justice afin d’obtenir le recouvrement.
Pas la peine d’aller aussi loin pour la majorité des ouvriers, bien sûr. En revanche, la situation risque d’être assez délicate pour plusieurs salariés : certains ont profité de l’occasion pour rembourser des dettes. Il y aurait aussi un ouvrier qui serait allé au casino pour jouer son salaire… L’usine risque donc de ne pas retrouver tout de suite toutes les sommes engagées.
La comptabilité de l’usine a multiplié les heures de travail par 100, ce qui explique les sommes rondelettes versées aux ouvriers. Cette bourde représente 7 millions d’euros pour l’entreprise, qui cherche élève évidemment à recouvrir ces salaires versés avec un peu trop de générosité. Dans un courrier, la direction demande donc aux salariés de retourner les sommes trop perçues. Ici, la loi est du côté de l’entreprise. Les récalcitrants pourront être poursuivis en justice afin d’obtenir le recouvrement.
Pas la peine d’aller aussi loin pour la majorité des ouvriers, bien sûr. En revanche, la situation risque d’être assez délicate pour plusieurs salariés : certains ont profité de l’occasion pour rembourser des dettes. Il y aurait aussi un ouvrier qui serait allé au casino pour jouer son salaire… L’usine risque donc de ne pas retrouver tout de suite toutes les sommes engagées.