Pas de hausse vertigineuse
La Société Générale et plusieurs banques mutualistes ont publié leurs nouvelles plaquettes tarifaires pour 2020. Les prix des prestations des banques augmentent, mais les craintes d'une hausse spectaculaire sont, pour le moment du moins, écartées. Les Echos détaillent les augmentations pour la Société Générale : les frais de transfert des produits d'épargne vers une autre banque coûteront un peu plus cher au 1er janvier, ainsi que tout ce qui a trait aux opérations pour les chèques.
Les frais de tenue de compte ne bougent pas (2 euros par mois), comme c'est le cas depuis 2016. Pour les autres banques, là aussi la hausse des frais bancaires reste modérée, avec quelques exceptions comme au sein de la Caisse d'Épargne Côte d'Azur où la tenue d'un compte coûte 5% plus cher.
Les frais de tenue de compte ne bougent pas (2 euros par mois), comme c'est le cas depuis 2016. Pour les autres banques, là aussi la hausse des frais bancaires reste modérée, avec quelques exceptions comme au sein de la Caisse d'Épargne Côte d'Azur où la tenue d'un compte coûte 5% plus cher.
Gilets jaunes
On pouvait craindre des hausses plus importantes : l'an dernier, les banques avaient accepté de geler leurs frais dans le contexte du mouvement des « gilets jaunes ». Mais finalement, les établissements bancaires sont restés sages, même s'ils poussent leurs clients à préférer d'autres modes de paiement que le chèque et à limiter autant que possible les opérations au guichet.
Certaines banques facturent plus cher les virements en agence ou l'émission d'un chèque de banque. Les autres grandes banques du secteur devraient poursuivre dans cette lancée, le secteur étant particulièrement concurrentiel et bousculé par les néo-banques qui ont plus de souplesse que les acteurs traditionnels.
Certaines banques facturent plus cher les virements en agence ou l'émission d'un chèque de banque. Les autres grandes banques du secteur devraient poursuivre dans cette lancée, le secteur étant particulièrement concurrentiel et bousculé par les néo-banques qui ont plus de souplesse que les acteurs traditionnels.