Heetch : une levée de fond de 34 millions d'euros
La start-up française Heetch, créée en 2013, est parvenue à lever la somme de 34 millions d’euros récoltés lors de sa cinquième levée de fond. L'entreprise entend, grâce à ce montant, développer son implantation africaine, et même de « s’imposer comme le champion du secteur sur les pays francophones », annonce la société dans un communiqué.
Heetch est déjà disponible dans neuf villes françaises. Et depuis un an, elle s'est lancée à l'assaut de l'Afrique francophone : au Maroc, à Casablanca, puis à Rabat et à Marrakech notamment. La société a révélé finaliser son implantation à Alger. En outre, son service est en test à Abidjan, en Côte d’Ivoire, et doit être lancé au Cameroun et au Sénégal d’ici à la fin de l’année 2019.
Heetch est déjà disponible dans neuf villes françaises. Et depuis un an, elle s'est lancée à l'assaut de l'Afrique francophone : au Maroc, à Casablanca, puis à Rabat et à Marrakech notamment. La société a révélé finaliser son implantation à Alger. En outre, son service est en test à Abidjan, en Côte d’Ivoire, et doit être lancé au Cameroun et au Sénégal d’ici à la fin de l’année 2019.
De nouveaux invetisseurs
Concernant les partenaires, Jeune Afrique de rappeler que parmi les investisseurs, Total Ventures et Cathay Innovation sont les deux nouveaux noms figurant aux côtés des historiques du groupe. En effet, Idinvest Partners, Innov’Allianz, Alven, Felix Capital et Via-ID, eux, avaient notamment permis à la start-up de lever 10 millions en 2017 et 16,6 millions d’euros en 2018.
Au final, Heetch a aussi connu des soucis judiciaires. Elle a ainsi été reconnue coupable de complicité d’exercice illégal de la profession de taxi, pratique commerciale trompeuse et organisation illégale d’un système de mise en relation de clients avec des chauffeurs non professionnels. Le tribunal correctionnel de Paris avait infligé une amende de 200 000 euros, dont 150 000 euros avec sursis, à la société, et 10 000 euros d’amende, dont la moitié avec sursis, à ses cofondateurs, Teddy Pellerin et Mathieu Jacob.
Au final, Heetch a aussi connu des soucis judiciaires. Elle a ainsi été reconnue coupable de complicité d’exercice illégal de la profession de taxi, pratique commerciale trompeuse et organisation illégale d’un système de mise en relation de clients avec des chauffeurs non professionnels. Le tribunal correctionnel de Paris avait infligé une amende de 200 000 euros, dont 150 000 euros avec sursis, à la société, et 10 000 euros d’amende, dont la moitié avec sursis, à ses cofondateurs, Teddy Pellerin et Mathieu Jacob.