Ces 44 milliards d’euros, qui seront investis d’ici la fin de l’année 2023, répondent à la nécessité voulue par Volkswagen d’accélérer le rythme de ses investissements, a rappelé Herbert Diess, le PDG du groupe. L’entreprise entend ainsi concentrer ses investissements dans les « domaines d’avenir ». À l’échelle de Volkswagen, c’est une véritable « reconversion industrielle », assure Stéphan Weil, le chef de l’exécutif de Basse-Saxe, qui est aussi actionnaire de Volkswagen. La principale enveloppe, soit 30 milliards d’euros, sera consacrée au développement de voitures électriques, un marché en pleine expansion qui fait saliver tous les constructeurs automobiles au monde.
En Basse-Saxe, deux unités de production vont être reconvertis en ligne de fabrication de voitures électriques. Voilà qui démontre la volonté de Volkswagen de s’investir corps et âme dans ce secteur. L’entreprise indique par ailleurs qu’une suppression de postes n’interviendra avant 2028. VW a aussi annoncé que les discussions se poursuivaient avec l’américain Ford pour le développement de véhicules utilitaires. Mais l’annonce que le groupe veut laisser dans les mémoires, c’est bien sûr celui de cet investissement massif dans les technologies propres.
Volkswagen se débat depuis trois ans dans le scandale du « dieselgate », qui lui a coûté 28 milliards d’euros. Et qui a retardé toute une partie de l’industrie allemande dans les voitures électriques et autonomes. L’entreprise veut désormais s’inscrire dans ce mouvement, dans un contexte où les voitures diesel sont la cible des pouvoirs publics et des municipalités qui ne veulent plus les voir circuler.
En Basse-Saxe, deux unités de production vont être reconvertis en ligne de fabrication de voitures électriques. Voilà qui démontre la volonté de Volkswagen de s’investir corps et âme dans ce secteur. L’entreprise indique par ailleurs qu’une suppression de postes n’interviendra avant 2028. VW a aussi annoncé que les discussions se poursuivaient avec l’américain Ford pour le développement de véhicules utilitaires. Mais l’annonce que le groupe veut laisser dans les mémoires, c’est bien sûr celui de cet investissement massif dans les technologies propres.
Volkswagen se débat depuis trois ans dans le scandale du « dieselgate », qui lui a coûté 28 milliards d’euros. Et qui a retardé toute une partie de l’industrie allemande dans les voitures électriques et autonomes. L’entreprise veut désormais s’inscrire dans ce mouvement, dans un contexte où les voitures diesel sont la cible des pouvoirs publics et des municipalités qui ne veulent plus les voir circuler.