@Shutter
La Grèce ne sortira pas de l'euro. La Commission européenne a rappelé lundi 5 janvier que la Grèce ne pourrait sortir de l'Euro, au regard d'une règle édictée par le traité européen. Et cela au grand dam d'Angela Merkel, qui semble souhaiter un départ rapide en cas de victoire du parti Syriza aux prochaines législatives organisées dans le pays le 25 janvier prochain.
Pour Bruxelles, l'appartenance de la Grèce à la zone euro semble donc irrévocable. C'est du moins ce qu'a indiqué un porte-parole de la Commission européenne, Annika Breidthardt. Un message destiné à l'Allemagne, à la Grèce, mais également à tous ceux qui remettent en cause la légitimité de la zone euro.
Une précision qui répond évidemment aux derniers propos de la chancelière allemande. Angela Merkel, a en effet déclaré, d'après le quotidien allemand Spiegel, qu'elle serait prête à laisser sortir la Grèce de la monnaie unique, du moins en cas de victoire aux législatives du parti radical de gauche, Syriza.
Le parti, qui est bien parti pour remporter les élections anticipées du 25 janvier prochain, souhaite renégocier la dette grecque et adoucir la politique d'austérité imposée par Bruxelles. Ce qui, en l'espèce, n'est pas négociable pour Angela Merkel, adepte de la rigueur et de la stricte observance des règles européennes.
Pour Bruxelles, l'appartenance de la Grèce à la zone euro semble donc irrévocable. C'est du moins ce qu'a indiqué un porte-parole de la Commission européenne, Annika Breidthardt. Un message destiné à l'Allemagne, à la Grèce, mais également à tous ceux qui remettent en cause la légitimité de la zone euro.
Une précision qui répond évidemment aux derniers propos de la chancelière allemande. Angela Merkel, a en effet déclaré, d'après le quotidien allemand Spiegel, qu'elle serait prête à laisser sortir la Grèce de la monnaie unique, du moins en cas de victoire aux législatives du parti radical de gauche, Syriza.
Le parti, qui est bien parti pour remporter les élections anticipées du 25 janvier prochain, souhaite renégocier la dette grecque et adoucir la politique d'austérité imposée par Bruxelles. Ce qui, en l'espèce, n'est pas négociable pour Angela Merkel, adepte de la rigueur et de la stricte observance des règles européennes.