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Mardi 5 juillet 2016 l'association de consommateurs UFC Que Choisir a publié son enquête sur les crèmes solaires à destination des enfants. Les tests menés auraient été très amplement concluants et, surtout, l'association aurait identifié des manquements dans les protections contre les rayons UV. A la suite de ces "graves carences", l'UFC Que Choisir a décidé de porter plainte.
L'UFC Que Choisir "dépose plainte (...) pour pratique commerciale trompeuse et tromperie" à la suite des tests menés en laboratoire et "de la très faible protection aux UVA constatée sur près d'un tiers des produits testés".
5 fabricants sont mis en cause : Clarin, Bioderma, Biosolis, Alga Maris et Lovéa selon ce que précise le communiqué de l'UFC Que Choisir publié mardi 5 juillet 2016. L'association a testé au total 17 produits différents dont les indices de protections étaient 50 et 50+, soit les plus élevés du commerce et qui sont spécifiquement indiqués pour les enfants et les personnes très sensibles au soleil.
Selon l'association, les produits "n'offrent pas la protection minimale contre les UVA requise par les experts français et les autorités européennes" alors même que les emballages "débordent de mentions rassurantes" ce qui justifie la plainte pour pratique commerciale trompeuse.
L'UFC Que Choisir "dépose plainte (...) pour pratique commerciale trompeuse et tromperie" à la suite des tests menés en laboratoire et "de la très faible protection aux UVA constatée sur près d'un tiers des produits testés".
5 fabricants sont mis en cause : Clarin, Bioderma, Biosolis, Alga Maris et Lovéa selon ce que précise le communiqué de l'UFC Que Choisir publié mardi 5 juillet 2016. L'association a testé au total 17 produits différents dont les indices de protections étaient 50 et 50+, soit les plus élevés du commerce et qui sont spécifiquement indiqués pour les enfants et les personnes très sensibles au soleil.
Selon l'association, les produits "n'offrent pas la protection minimale contre les UVA requise par les experts français et les autorités européennes" alors même que les emballages "débordent de mentions rassurantes" ce qui justifie la plainte pour pratique commerciale trompeuse.