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AB Inbev, leader du secteur de la bière dans le monde, a donc annoncé qu'il allait racheter son concurrent SAB Miller soit... le numéro deux mondial. Le nouveau supergroupe ainsi formé sera donc le principal producteur de bière sur l'ensemble de la planète ou presque.
L'offre que SAB Miller a acceptée est la 4ème que lui fait AB Inbev, montrant à quel point la fusion était voulue par le géant. Au final SAB Miller a accepté une offre 50% supérieure à son actuel cours de Bourse et qui serait de 44 livres sterling par action. AB Miller est donc valorisée au total 71,2 milliards de livres sterling soit la coquette somme de 96 milliards d'euros ce qui fait de cette fusion la plus grosse de l'histoire de l'industrie agroalimentaire (la deuxième plus grosse étant celle d'AB avec Inbev datant de 2008).
L'intérêt de cette fusion, outre créer un groupe gigantesque, est pour AB Inbev de s'ouvrir les portes du marché africain. Celui-ci est largement dominé par SAB Miller puisque la marque est d'origine sud-africaine. AB Inbev, au contraire, domine sur les marchés américains et d'Europe de l'Ouest.
Les spécialistes sont toutefois mitigés sur l'impact de ce rachat à cause du prix très élevé qu'AB Inbev a dû débourser et qu'ils considèrent trop élevé.
L'offre que SAB Miller a acceptée est la 4ème que lui fait AB Inbev, montrant à quel point la fusion était voulue par le géant. Au final SAB Miller a accepté une offre 50% supérieure à son actuel cours de Bourse et qui serait de 44 livres sterling par action. AB Miller est donc valorisée au total 71,2 milliards de livres sterling soit la coquette somme de 96 milliards d'euros ce qui fait de cette fusion la plus grosse de l'histoire de l'industrie agroalimentaire (la deuxième plus grosse étant celle d'AB avec Inbev datant de 2008).
L'intérêt de cette fusion, outre créer un groupe gigantesque, est pour AB Inbev de s'ouvrir les portes du marché africain. Celui-ci est largement dominé par SAB Miller puisque la marque est d'origine sud-africaine. AB Inbev, au contraire, domine sur les marchés américains et d'Europe de l'Ouest.
Les spécialistes sont toutefois mitigés sur l'impact de ce rachat à cause du prix très élevé qu'AB Inbev a dû débourser et qu'ils considèrent trop élevé.