Shutterstock/Economiematin
Le gisement, que l'entreprise italienne a nommé Zohr, serait potentiellement un des plus gros gisements du monde avec quelques 850 milliards de mètres cubes de gaz soit l'équivalent de 5,5 milliards de barils de pétrole. Il se situe à 1 450 mètres sous le niveau de la mer, soit 4 100 mètres sous la surface de l'eau mais ça ne devrait pas poser un problème : ENI a déjà prévu d'utiliser les plateformes déjà existantes pour réduire ses coûts d'exploitation.
Si la nouvelle est bonne pour ENI elle l'est d'autant plus pour l'Egypte qui se retrouve propriétaire de ce gisement et avec lequel ENI a de gros partenariats. Claudio Descalzi, directeur général d'ENI, est allé discuter directement avec le président égyptien Abdel Fattah Al-Sissi de la suite des événements.
L'Egypte se retrouve donc en mesure de répondre à ses besoins en gaz naturel "pendant des décennies" estime ENI, mais pas seulement. Le gisement est assez grand pour faire de l'Egypte un futur exportateur de gaz naturel ce qui devrait changer les relations du pays avec l'Europe, actuellement très dépendante de la Russie en ce qui concerne son approvisionnement de gaz.
La manne financière que représente ce nouveau gisement, dont l'exploitation ne commencera toutefois pas avant plusieurs années, devrait également permettre au pays de se sortir de la période de crise et de récession qu'il traverse depuis la guerre civile ainsi que de résister aux menaces de Daesh.
Si la nouvelle est bonne pour ENI elle l'est d'autant plus pour l'Egypte qui se retrouve propriétaire de ce gisement et avec lequel ENI a de gros partenariats. Claudio Descalzi, directeur général d'ENI, est allé discuter directement avec le président égyptien Abdel Fattah Al-Sissi de la suite des événements.
L'Egypte se retrouve donc en mesure de répondre à ses besoins en gaz naturel "pendant des décennies" estime ENI, mais pas seulement. Le gisement est assez grand pour faire de l'Egypte un futur exportateur de gaz naturel ce qui devrait changer les relations du pays avec l'Europe, actuellement très dépendante de la Russie en ce qui concerne son approvisionnement de gaz.
La manne financière que représente ce nouveau gisement, dont l'exploitation ne commencera toutefois pas avant plusieurs années, devrait également permettre au pays de se sortir de la période de crise et de récession qu'il traverse depuis la guerre civile ainsi que de résister aux menaces de Daesh.