Shutterstock/Economiematin
Martin Bouygues a été clair sur un point devant la presse : son groupe, Bouygues, devra détenir au minimum 10% du nouvel opérateur faute de quoi la fusion n'aura pas lieu. "La question ne se pose pas" a-t-il déclaré en marge des résultats de l'opérateur qui a enregistré une nouvelle année de pertes nettes : 59 millions d'euros en 2015.
Le milliardaire français viserait plutôt une participation aux alentours de 10% voire 15%. "Ce serait correct" estime-t-il tout en sachant pertinemment qu'il n'obtiendra pas 15% d'Orange. Pour ce faire, l'Etat devrait baisser sa participation dans l'opérateur historique de 23% à moins de 20% et le gouvernement a déjà fait savoir qu'il n'en est pas question. Sans cette baisse de participation, Bouygues ne pourrait finalement prétendre qu'à un peu plus de 10% du capital d'Orange.
Certes, ça suffirait, semble-t-il, à Martin Bouygues mais ce dernier a également un autre espoir : siéger au conseil d'administration de l'opérateur. "Bouygues pourrait obtenir des sièges au Conseil d'Orange dans le cadre de la transaction" estime le PDG de l'opérateur Bouygues Telecom.
Quoiqu'il en soit, il semble qu'il y ait encore des problèmes à résoudre avant que le feu vert ne soit donné à l'opération. Mais tout devrait être réglé d'ici la fin du premier trimestre 2016 car Martin Bouygues ne compte pas faire durer les discussions au-delà de cette date.
Le milliardaire français viserait plutôt une participation aux alentours de 10% voire 15%. "Ce serait correct" estime-t-il tout en sachant pertinemment qu'il n'obtiendra pas 15% d'Orange. Pour ce faire, l'Etat devrait baisser sa participation dans l'opérateur historique de 23% à moins de 20% et le gouvernement a déjà fait savoir qu'il n'en est pas question. Sans cette baisse de participation, Bouygues ne pourrait finalement prétendre qu'à un peu plus de 10% du capital d'Orange.
Certes, ça suffirait, semble-t-il, à Martin Bouygues mais ce dernier a également un autre espoir : siéger au conseil d'administration de l'opérateur. "Bouygues pourrait obtenir des sièges au Conseil d'Orange dans le cadre de la transaction" estime le PDG de l'opérateur Bouygues Telecom.
Quoiqu'il en soit, il semble qu'il y ait encore des problèmes à résoudre avant que le feu vert ne soit donné à l'opération. Mais tout devrait être réglé d'ici la fin du premier trimestre 2016 car Martin Bouygues ne compte pas faire durer les discussions au-delà de cette date.