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Alors que Bercy table toujours sur une croissance de 1,5% pour 2016, le FMI estime qu'il sera nécessaire d'attendre 2017 pour que la France connaisse une telle croissance. Or cette croissance serait, selon les économistes, le minimum permettant de garantir une création d'emplois stables et durables, objectif premier du gouvernement qui tente le tout pour le tout pour faire baisser le chômage.
Pour 2016, en effet, le FMI ne s'attend plus qu'à 1,3% de croissance en France, et donc 1,5% en 2017. La faute n'en revient toutefois pas totalement au gouvernement de François Hollande puisque c'est la croissance mondiale qui est revue à la baisse, même si quelques pays devraient faire même mieux que prévu.
Le FMI pointe du doigt l'instabilité économique globale qui freine la croissance mondiale. Cette dernière n'est plus attendue qu'à 3,4% pour 2016 et 3,6% pour 2017, en baisse de 0,2%. La situation chinoise, frappée par une crise boursière depuis fin 2015 et par une croissance en berne, est un des principaux facteurs de ce ralentissement.
Pour l'institution dirigée par Christine Lagarde, sur la croissance mondiale pèsent également la chute du prix du pétrole et les taux de la FED qui devraient être relevés progressivement en 2016.
Toutefois, le FMI n'est pas pessimiste pour tous les pays. L'Allemagne, par exemple, a vu sa croissance être revue à la hausse de 0,1% en 2016 à 1,7%.
Pour 2016, en effet, le FMI ne s'attend plus qu'à 1,3% de croissance en France, et donc 1,5% en 2017. La faute n'en revient toutefois pas totalement au gouvernement de François Hollande puisque c'est la croissance mondiale qui est revue à la baisse, même si quelques pays devraient faire même mieux que prévu.
Le FMI pointe du doigt l'instabilité économique globale qui freine la croissance mondiale. Cette dernière n'est plus attendue qu'à 3,4% pour 2016 et 3,6% pour 2017, en baisse de 0,2%. La situation chinoise, frappée par une crise boursière depuis fin 2015 et par une croissance en berne, est un des principaux facteurs de ce ralentissement.
Pour l'institution dirigée par Christine Lagarde, sur la croissance mondiale pèsent également la chute du prix du pétrole et les taux de la FED qui devraient être relevés progressivement en 2016.
Toutefois, le FMI n'est pas pessimiste pour tous les pays. L'Allemagne, par exemple, a vu sa croissance être revue à la hausse de 0,1% en 2016 à 1,7%.