cc/pixabay
La dernière estimation de croissance mondiale de la Banque Mondiale datait de janvier 2016 et l'institution était, à l'époque, optimiste. Elle tablait sur une croissance de 2,9 % pour l'année 2016. Mais la situation s'est fortement dégradée depuis : "l'économie mondiale est exposée à des risques majeurs" écrit la Banque Mondiale dans son communiqué. Bien que la crise du pétrole soit en partie passée, le baril étant remonté au-dessus des 50 dollars, les risques semblent être toujours là.
Ainsi, la Banque Mondiale ne table plus que sur une croissance de 2,4 % du PIB mondial en 2016. Une baisse de 0,5 % par rapport à son estimation de janvier 2016 et, surtout, une croissance qui est stagnante par rapport à celle de 2015. Pour 2017, la situation devrait être un peu meilleure avec une croissance de 2,8 %.
Dans ses nouvelles estimations de croissance, la Banque Mondiale baisse les prévisions de quasiment tous les grands pays du monde : -0,8 % par rapport à janvier 2016 pour les Etats-Unis, ralentissement à 6,7 % pour la Chine, Brésil et Russie en récession...
La zone euro devrait s'en sortir avec un petit 1,6 % de croissance en 2016, un niveau similaire à celui de 2015, qui ne suffira pas à relancer la croissance. Seule l'Inde s'en sort bien, dépassant la Chine avec 7,6 % de croissance.
Ainsi, la Banque Mondiale ne table plus que sur une croissance de 2,4 % du PIB mondial en 2016. Une baisse de 0,5 % par rapport à son estimation de janvier 2016 et, surtout, une croissance qui est stagnante par rapport à celle de 2015. Pour 2017, la situation devrait être un peu meilleure avec une croissance de 2,8 %.
Dans ses nouvelles estimations de croissance, la Banque Mondiale baisse les prévisions de quasiment tous les grands pays du monde : -0,8 % par rapport à janvier 2016 pour les Etats-Unis, ralentissement à 6,7 % pour la Chine, Brésil et Russie en récession...
La zone euro devrait s'en sortir avec un petit 1,6 % de croissance en 2016, un niveau similaire à celui de 2015, qui ne suffira pas à relancer la croissance. Seule l'Inde s'en sort bien, dépassant la Chine avec 7,6 % de croissance.