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Ce lundi 14 décembre 2015 un nouveau record en baisse a été franchi par le pétrole à Londres : le prix du Brent est descendu à 36,61 dollars le baril... du jamais vu depuis le 24 décembre 2004, il y a presque 11 ans jour pour jour.
Une chute qui ne fait bien évidemment pas les affaires des compagnies pétrolières. Ces dernières, en 2015, ont annoncé plusieurs centaines de milliers de suppression d’emplois pour faire face à des marges de plus en plus réduites. L’OPEP, de son côté, est la seule entité en mesure d’inverser la tendance mais, malgré les avis divergents en son sein, elle ne devrait pas changer rapidement de stratégie.
La tendance baissière devrait se confirmer : le WTI a chuté à 35,24 dollars ce lundi 14 décembre 2015 à l’ouverture de Nymex et les analystes commencent même à tabler sur un baril frôlant les 30 dollars avant la fin du mois de décembre 2015.
L’impact sur le prix à la pompe des carburants s’est déjà fait sentir avec un prix au litre pour le diesel qui a de nouveau franchit à la baisse la barre symbolique d’un euro le litre.
L’aubaine ne devrait toutefois pas durer : selon les analystes de Barclays un rebond et une stabilisation du cours du pétrole sont à prévoir en 2016.
Une chute qui ne fait bien évidemment pas les affaires des compagnies pétrolières. Ces dernières, en 2015, ont annoncé plusieurs centaines de milliers de suppression d’emplois pour faire face à des marges de plus en plus réduites. L’OPEP, de son côté, est la seule entité en mesure d’inverser la tendance mais, malgré les avis divergents en son sein, elle ne devrait pas changer rapidement de stratégie.
La tendance baissière devrait se confirmer : le WTI a chuté à 35,24 dollars ce lundi 14 décembre 2015 à l’ouverture de Nymex et les analystes commencent même à tabler sur un baril frôlant les 30 dollars avant la fin du mois de décembre 2015.
L’impact sur le prix à la pompe des carburants s’est déjà fait sentir avec un prix au litre pour le diesel qui a de nouveau franchit à la baisse la barre symbolique d’un euro le litre.
L’aubaine ne devrait toutefois pas durer : selon les analystes de Barclays un rebond et une stabilisation du cours du pétrole sont à prévoir en 2016.